Dimanche 7 août, dernier jour de tensions entre Israël et le Jihad islamique en Palestine, cinq enfants palestiniens sont morts. Alors que Tsahal accusait un tir de roquette palestinien, des officiers supérieurs de l'armée israélienne ont finalement reconnu la responsabilité de l'État hébreu.
Quand la réalité rattrape la communication de guerre… Ce mardi 16 août, Tsahal, l'armée israélienne, a reconnu être responsable de la mort de cinq enfants palestiniens, de 3 à 16 ans, dans le cimetière d'Al-Faluja à l'est de Jabalya, dans le nord de la bande de Gaza, le 7 août dernier. Dans un premier temps, les autorités israéliennes avaient annoncé que le décès de ces victimes était dû à un tir de roquette mal calibré de la part du Jihad islamique.
L'information provient directement des résultats d'une enquête interne menée par Tsahal, confirmée par des sources de défense israéliennes à la presse du pays. Le drame du 7 août est survenu au lendemain d'un autre épisode tragique. Dans la même ville, une frappe avait tué huit civils, dont plusieurs enfants. À la suite de ses investigations, l'armée israélienne a conclu cette fois qu'un missile mal tiré par le Jihad islamique était en cause. Alors que les autorités palestiniennes désignaient Israël comme responsable, l'armée israélienne a diffusé des images confirmant qu'une roquette tirée par les Palestiniens était bien retombée à Gaza.
Cet été a été l'occasion d'un regain de tensions entre Israël et les territoires palestiniens. Le vendredi 5 août, Tsahal a lancé une opération présentée comme « préventive », contre le Jihad islamique, considéré comme organisation terroriste par Israël, les États-Unis et l'Union européenne. L'attaque a abattu plusieurs chefs militaires palestiniens d'importance comme Tayssir Al-Jabari et Khaled Mansour. Pour justifier l'opération, Israël a exprimé les craintes de représailles de la part de l'organisation palestinienne après l'arrestation de Bassem al-Saadi le 1er août, l'une des figures historiques du Jihad islamique.
Israël et l'organisation palestinienne ont finalement signé une trêve, entrée en vigueur dimanche 7 août. En seulement trois jours, 44 Palestiniens ont perdu la vie après des frappes de Tsahal sur la bande de Gaza. Cet accord reste toutefois précaire. Le bureau du Premier ministre israélien Yaïr Lapid a précisé que son pays « se réserv(ait) le droit de répondre fermement à toute violation ».
Il faut être un sacré farceur pour faire croire aux Martiniquais qu'un deuxième Cuba est possible Lire la suite
...toute la "classe politique" (qui n’est d’ailleurs pas une "classe sociale") sur le même plan ? Lire la suite
...ou ka trouvé tout diks-li, òben yo ka viré enprimé tou sa i fè-a vitman présé! Lire la suite
...À une époque pas si lointaine, l’adjectif qualificatif "national" était fréquemment utilisé po Lire la suite
ce sera très drôle! Lire la suite