Si toutes les municipalités ou presque se font un devoir de célébrer "LE MOIS DU CREOLE" désormais, si les médiathèques organisent des "Dikté Kréyol", si la CTM avait voté à l'unanimité (moins une abstention) la co-officialité de créole et du français, s'il existe une Licence, un Master et un Doctorat de créole à l'Université des Antilles, si un CAPES et une Agrégation de créole permettent de recruter des enseignants de créole dument formés (et non de simples et courageux animateurs culturels), si on voit de temps à autre des articles en créole dans les journaux-papier et les