La morale chrétienne si unanimement respectée sur cette terre sainte qu'est la Martinique (autrefois dénommée Wanakaéra par les païens qui l'occupaient depuis trop longtemps) nous interdit de traduire le titre du présent article rédigé dans un idiome qui descendrait tout droit de l'égyptien ancien selon une bande de ramollis du cerveau.
Comprenne qui pourra ! En tout cas, il y est question de l'ex-sexe faible d'une part et de l'autre, de l'index ou du majeur (ou carrément des deux à la fois). Hum !... Force est de constater qu'hélas, trois fois hélas, dix fois hélas, les mêmes pratiques "doigtières" (et droitières) on court tant à New-York qu'à Paris. Heureusement que Dame Justice veille au grain des deux côtés de l'Atlantique et que mettre un doigt, que ce soit dans une cabine d'essayage (comme à N-York) ou dans un cabinet d'avocat (comme à Paris) est puni par la loi.
Mais lisons plutôt ces lignes publiées dans un magazine grand public. Lignes édifiantes s'il en est :
"Selon le juge, les preuves contre Trump sont « convaincantes »
« Comme le montrent clairement les preuves relatées au procès, le jury a conclu que M. Trump avait en fait exactement fait ce qui est décrit », écrit le juge Kaplan dans sa note. Selon lui, la somme colossale de dommages et intérêts qui lui est due ne vient pas de nulle part : Ce jury n’a pas accordé à Mme Carroll plus de 2 millions de dollars pour avoir peloté ses seins à travers ses vêtements, aussi répréhensible que cela aurait pu être. Il n’y avait aucune preuve d’un tel comportement. Au lieu de cela, la preuve a établi de manière convaincante, et le jury a implicitement conclu, que M. Trump a délibérément et de force pénétré le vagin de Mme Carroll avec ses doigts, causant une douleur immédiate et un préjudice émotionnel et psychologique de longue durée. Le juge Lewis A. Kaplan
L’ancienne chroniqueuse du ELLE US accuse l’ex-président de l’avoir violée dans une cabine d’essayage du grand magasin new-yorkais Bergdorf Goodman, au printemps 1996. Une agression dont elle avait témoigné dans une interview accordée au New York Magazine en juin 2019. « Il baisse sa braguette et enfonce ses doigts dans mes parties intimes, puis son pénis », avait raconté E. Jean Carroll au magazine, pour lequel elle avait posé en Une, vêtue de la même robe noire qu’elle portait au moment des faits.
Il faut être un sacré farceur pour faire croire aux Martiniquais qu'un deuxième Cuba est possible Lire la suite
...toute la "classe politique" (qui n’est d’ailleurs pas une "classe sociale") sur le même plan ? Lire la suite
...ou ka trouvé tout diks-li, òben yo ka viré enprimé tou sa i fè-a vitman présé! Lire la suite
...À une époque pas si lointaine, l’adjectif qualificatif "national" était fréquemment utilisé po Lire la suite
ce sera très drôle! Lire la suite