On croyait en avoir fini avec sa tronche de faux-cul depuis qu'il a été éjecté du paysage politique français, ce Valls, Catalan de naissance devenu Français seulement à l'âge de...19 ans.
On se souvient qu'alors qu'il était maire d'Evry, il avait été filmé et enregistré à son insu sur un marché de cette ville où il y avait quelques petits commerçants africains et arabes. On voit et entend Valls dire aux deux adjoints au maire qui l'accompagnaient :
__"Mettez-moi des Whites ! Des Whites ! Des Blancos...".
Pour ceux qui l'ignoreraient "white" et "blanco" signifient "blanc". Devenu Premier ministre socialiste (ce dernier terme étant comme chacun sait un synonyme de faux-cul), il s'est employé à faire risette aux élus d'Outremer, notamment aux plus cons d'entre eux qui n'ont jamais hésité à s'afficher avec lui toutes dents dehors. Puis, shooté du paysage politique, Valls se replie sur sa patrie d'origine où il essaie de se faire élire maire de Barcelone et prend une claque monumentale : 12% des voix. Enfin, il revient en France où il fait de la lèche à tous les responsables macronistes dans l'espoir de décrocher un maroquin ministériel, cela sans le moindre succès. Dernièrement, c'est même une Marocaine qui en a décroché un !
Et voici le Valls de retour ces jours-ci sur les médias pour dénoncer à la fois l'occupation de la Sorbonne par des étudiants qui exigent l'arrêt de l'agression israélienne à Gaza et celui des ventes d'armes occidentales au gouvernement Netanyahu. Pour Valls, ces revendications émanent d'"antisémites" et d'"islamo-gauchistes" !!! 35.000 morts à Gaza en 6 mois de guerre seulement, ce faux-cul n'en a rien à foutre car ils ne sont pas des "Whites" ni des "Blancos".
Il devra donc être considéré, le moment venu (car ce moment viendra forcément), comme co-responsable du génocide des Gazaouis. Lui et des tas d'autres évidemment...
Il faut être un sacré farceur pour faire croire aux Martiniquais qu'un deuxième Cuba est possible Lire la suite
...toute la "classe politique" (qui n’est d’ailleurs pas une "classe sociale") sur le même plan ? Lire la suite
...ou ka trouvé tout diks-li, òben yo ka viré enprimé tou sa i fè-a vitman présé! Lire la suite
...À une époque pas si lointaine, l’adjectif qualificatif "national" était fréquemment utilisé po Lire la suite
ce sera très drôle! Lire la suite
Commentaires
QUI EST LE...
Albè
01/05/2024 - 09:43
...plus con des deux sur la photo ? Question à mille francs ! Enfin, euros plutôt...
Valls, un "Facho", vraiment ?
Frédéric C.
02/05/2024 - 08:55
Il y a un problème qui n'est pas seulement de vocabulaire. Passons sur le fait que Valls soit d'origine catalane. Après tout, Danielle Obono est d'origine gabonaise, mais est-ce un problème ?... Manuel Valls a un côté opportuniste, OK! Il défend des positions assez xénophobes, et sa déclaration enregistrée sonne "Suprémaciste-Blanc"... Mais est-ce un "fasciste" pour autant ? En France il y a plein de gens racistes anti-Maghrébins, négrophobes, etc, mais ce ne sont pas forcément des fascistes... Les fascistes, ce sont ceux qui, ultranationalistes, veulent instaurer un régime ressemblant peu ou prou aux dictatures d'extrême-droite comme Mussolini en Italie, Hitler en Allemagne (la "Shoah" ne figurait ni dans son pgme électoral de 1932-33, ni dans "Mein Kampf" paru en 1925). Faisons quand même le distinguo entre les "simples" racistes (comme Valls, Pasqua, de Gaulle) et les vrais fascistes (ou crypto-fascistes, qui sont aussi des racistes ménanophobes) comme les dirigeants du FN/RN, de "Reconquête" (Zemmour, Marion Maréchal), des "Identitaires", des gens comme Papacito, A.Soral et d'autres... Les néo-fascistes vont peut-être accéder au pouvoir suprême à Paris ("Ensemble Institutionnel Français"). Alors si on veut y voir un peu clair, ce n'est peut-être pas le moment de tout mélanger... On pourrait en dire autant de ceux qui assimilent "fascisme" et "Nazisme", et la moindre répression comme du "Nazisme". EXEMPLE: Les pancartes arborées voici quelques temps en Mque "A bas la répreSSion", par des militants anticolonialistes.
Écrasez l’infâme !
oss07
04/05/2024 - 11:36
Voltaire utilisait souvent ce mot d’ordre au bas de ses lettres (sous la forme "Ecrlinf") pour rappeler à ses correspondants son obsession : terrasser l’intolérance religieuse.
Voltaire vivait en France sous l'Ancien régime, il visait surtout le catholicisme. Mais il était d'une opinion égale à l'égard des autres religions, notamment l'islam. N'a-t-il pas écrit une pièce de théâtre intitulée : "Le Fanatisme ou Mahomet le Prophète" ?
Voltaire, plutôt déiste, ne condamnait pas les religions en tant que telles. Il les critiquait quand elles s'opposaient à la raison, à la tolérance, à la liberté de pensée.
De nos jours, on peut toujours critiquer le christianisme. Les marxistes y ont participé en parlant d'opium du peuple. On peut le faire sans être désigné à la vindicte populaire comme "christianophobe".
Mais critiquer l'islam est devenu dangereux. La moindre remarque sur l'islam fait de son auteur un "islamophobe", c'est à dire une sorte de raciste dégénéré, ennemi des mahométans (comme disait Voltaire).