Sans oublier bien sûr "O Presidente da Martinica" comme la presse de Belem (Brésil) l'avait surnommé lorsqu'il avait établi un "partenariat" entre notre île et l'état du Para et "The President of Martinique" comme l'avait surnommé la presse de Harlem (Etats-Unis) lorsqu'il avait visité ce quartier newyorkais.
Ça en fait des titres de président pour Serge Letchimy !
Mais, sans être mauvaise langue, il ne lui manque en fait qu'un seul vrai titre de président : prézidan Matinik. Hélas, trois fois, hélas ! Dans l'île aux fleurs, c'est le Préfet qui décide des choses importantes et pas le président de la CTM. CTM dont, d'ailleurs, quasiment la moitié du budget est pré affectée à... l'aide sociale ! Autrement dit, distribuer le RSA, ensuite construire deux trois tronçons de route ou une école par-là, accorder deux-trois subventions par-ci, telles sont les tâches principales de notre chère collectivité territoriale. Pouvoir régional qui relève de la fiction donc et dont, honnêteté intellectuelle oblige, on ne saurait rendre le seul PPM responsable. Il y a un consensus de la droite aux indépendantistes en passant par les autonomistes pour gérer cette maison de papier qu'est la CTM.
Pour en revenir au multi-président Letchimy, comme il est curieux de le voir prendre régulièrement sa plume dès qu'il y a le moindre problème en Martinique et adresser des courriers à un autre président situé sur l'Autre Bord de l'Atlantique à savoir Emmanuel Macron ! Pourtant ce dernier n'a qu'un seul et unique titre de président, pas trois comme Letchimy (Sorry ! Quatre en fait puisque ce dernier fut aussi président de la CACEM de 2001 à 2008).
Bizarre, non ?...
L'origine du patronyme "Zemour" : il provient du berbère "azemmur" qui désigne..."l'olive". Lire la suite
...à expulser de la langue française, il y aurait aussi l’inévitable "zob", ou "zeub", "zobi", et Lire la suite
J'ai dû mal ç bien saisir le commentaire de Karl. Lire la suite
Ek viv kon à Sent-lusi!
Lire la suite...et des vidéos de gens ensanglantés, la poitrine défoncée par le volant*, quelques viscères deh Lire la suite