En dépit de l’interdiction de danses et d’assemblées d’esclavisés, formulée dès le 4 mai 1654 par le Conseil souverain de la Martinique et confirmée par les articles 16 et 17 du Code Noir, les esclavisés se réunirent au sein de kalendas, nations, convois et sociétés.
Ces espaces de convivialité, de solidarité à l’intérieur du système esclavagiste méritent d’être connus. Ils sont l’expression de l’humanité des mis en esclavage -pourtant officiellement réduits à l’état de biens meubles- de leur capacité à agir en tant qu’êtres humains. Ils sont à l’origine de nos mutuelles, sociétés de quadrilles, bals bouké, bèlè, soussou, koudmen et d’une partie de notre carnaval.
La conférence veut restituer l’humanité des esclavisés à travers leurs regroupements et en montrer les survivances dans la Martinique d’aujourd’hui.
Les trop nbreux coups d'Etat se succédant en Afrique noire ont hélas très souvent comme but réel Lire la suite
...a appliqué le "Code Noir" depuis 1684, mais son régime pratiquait déjà des opérations inhumain Lire la suite
Danser sur la corde raide est un exercice difficile .On rique a tout moment de tomber N’est pas e Lire la suite
Un autre facteur joue:l'émigration massive et le vieillissemet démographique affaiblissent le po Lire la suite
Merci pour votre article que je découvre. Lire la suite