En dépit de l’interdiction de danses et d’assemblées d’esclavisés, formulée dès le 4 mai 1654 par le Conseil souverain de la Martinique et confirmée par les articles 16 et 17 du Code Noir, les esclavisés se réunirent au sein de kalendas, nations, convois et sociétés.
Ces espaces de convivialité, de solidarité à l’intérieur du système esclavagiste méritent d’être connus. Ils sont l’expression de l’humanité des mis en esclavage -pourtant officiellement réduits à l’état de biens meubles- de leur capacité à agir en tant qu’êtres humains. Ils sont à l’origine de nos mutuelles, sociétés de quadrilles, bals bouké, bèlè, soussou, koudmen et d’une partie de notre carnaval.
La conférence veut restituer l’humanité des esclavisés à travers leurs regroupements et en montrer les survivances dans la Martinique d’aujourd’hui.
Bien que ne partageant pas l'ensemble du contenu du commentaire de Frédéric Constant (Frédéric C Lire la suite
Je pense que vous avez pris l'expression "inculture crasse de Zemour" au premier degré. Lire la suite
...mais du fait de sa vision du monde raciste-mélanoderme, colonialiste et néocolonialiste. Lire la suite
"Krik ! Krak !" est afouiquain !
Lire la suite"Enjouriyé" ??? Man pé konnet tala. Man konnet "jouré"...
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