Le machisme a de beaux jours devant lui dans notre chère Université des Antilles et tout particulièrement sur le Pôle Martinique, plus connu du grand public sous le nom de Campus de Schœlcher.
Tout le monde se souvient du déferlement d'insultes (par mails) et d'actions malveillantes qu'avait subi une présidente de l'établissement il y a cinq ans, jugée responsable par un certain groupe de recherches de ses malheurs alors que c'étaient deux rapports de la Cour des Comptes et un rapport du Sénat, tous deux accablants, qui avaient pointé du doigt la responsabilité dudit groupe dans la volatilisation de pas moins de 12 millions d'euros de fonds européens dans la comptabilité de l'Université des Antilles. Les trois responsables ont depuis été révoqués de l'université et radiés à vie de la fonction publique mais la présidente a dû demander sa mutation dans l'Hexagone, n'ayant été soutenue dans son combat que par une poignée d'enseignants et d'administratifs. Les grands gueules du "postcolonial", "décolonial" et autre "afrocentrisme" ont gardé la bouche cousue !
Moins connues sont les souffrances machistes qu'ont enduré la vice-présidente du Pôle Martinique et la Doyenne de la Faculté des Lettres et Sciences humaines, cette dernière ayant décidé de demander, elle aussi, sa mutation dans l'Hexagone faute de soutien de la plupart de ses collègues. Mais au machisme s'ajoute, sur le Pôle Martinique, l'ostracisme anti-Blanc, cela de la part de gens qui ne sont pas des...indépendantistes !!! Ce qui peut se résumer ainsi : "Je ne veux pas du Blanc, mais je ne veux pas me séparer de lui en réclamant l'indépendance". Ce compère-lapinisme malsain s'attaque donc non seulement aux femmes mais aussi aux "Blancs". C'est ce qui a contraint une enseignante "Métro" d'une des composantes du campus de Schœlcher à porter plainte contre le doyen de sa faculté pour harcèlement répété, dénigrement permanent, mise à l'écart, blocage de carrière etc...
Le verdict de la justice est tombé ce jour : le doyen en question a été reconnu coupable de tous les chefs d'accusation qui pesaient sur lui, condamné à 3 mois de prison avec sursis et 5.000 (cinq mille) euros de dommages et intérêts.
Il fera très probablement appel de ce verdict mais désormais, la chose est sur la place publique et cela ne fait que commencer. Ranjé kò'w, bonda'w déwò, boug !
...toute la "classe politique" (qui n’est d’ailleurs pas une "classe sociale") sur le même plan ? Lire la suite
...ou ka trouvé tout diks-li, òben yo ka viré enprimé tou sa i fè-a vitman présé! Lire la suite
...À une époque pas si lointaine, l’adjectif qualificatif "national" était fréquemment utilisé po Lire la suite
ce sera très drôle! Lire la suite
...vous vous bouchez les yeux quand il s'agit d'identifier les VRAIS responsables de la situation Lire la suite
Commentaires
Le pb avec ce genre d'article...
Frédéric C.
11/06/2024 - 17:24
... c'est que personne n'est nommé. Ça ressemble à un projet de "4è de couverture" pour un projet de roman dont les personnages n'ont pas encore trouvé leurs noms. On aimerait bien en savoir un peu plus ! S'il y a eu un arrêt rendu en appel, non suivi de pourvoi en cassation, la décision juridictionnelle est publique, avec autorité de chose jugée, donc il n'y aurait pas diffamation à dire qui a fait quoi. Alors pourquoi FK s'arrête-t-il ici en si bon chemin ?... J'ai vu dans Internet qu'il s'agiRAIT d'une affaire de "Harcèlement moral" (pas sexuel) exercé par un certain J-G. C. Est-ce de cela qu'il s'agit ? Qui sont les protagonistes ?... C'est important car, on le sait, le HM peut tuer des gens. Et il ne serait pas normal que des harceleurs jugés comme tels (qui sont donc des criminels en puissance) puissent rester anonymes. Alors de quoi en retourne-t-il, Monsieur le Directeur de publication ? Merci d'avance.