Gadé foto-a ki ka ilistré artik-tala : sé Blan ki ka kouri vidé adan an zil la Karayib. An zil ka palé anglé. Sé kon sa chak lanné depi nanninannan ek sa pa ka terbolizé pèsonn. Ki Sent-Lisi ki Grinad ki Antig ki Trinidad kisasayésa...
Mé, atè Matinik, ni moun, anchay moun menm, ka vréyé labou davwè té ké ni twop Blan adan kannaval-la. Bann initil ki zot yé ! Si zot pa lé wè Blan, anni pwan lendépandans-zot ("an bonda manman-zot !", Ti Sonson té ké ajouté). Ni éleksion toulong, enben anni voté, pa ekzanp, ba yenki mè ki endépandantis. Kon sa zot ké pé pwan péyi-a an lanmen-zot. Men, ki sa nou ka konstaté ? Ki asou 34 komin, PA NI YONN ki ni an mè endépandantis. Ki asou 4 dépité, ni 2 ki sé dé fo-endépandantis. Ki asou 2 sénatè, pa ni yonn ki endépandantis.
Kidonk, fèmen gran djol-zot la épi zafè ni twop Blan sisi ni twop Blan sila !
Il faut être un sacré farceur pour faire croire aux Martiniquais qu'un deuxième Cuba est possible Lire la suite
...toute la "classe politique" (qui n’est d’ailleurs pas une "classe sociale") sur le même plan ? Lire la suite
...ou ka trouvé tout diks-li, òben yo ka viré enprimé tou sa i fè-a vitman présé! Lire la suite
...À une époque pas si lointaine, l’adjectif qualificatif "national" était fréquemment utilisé po Lire la suite
ce sera très drôle! Lire la suite
Commentaires
"Vivre ensemble" chacun de son côté.
certes
23/02/2023 - 16:15
Un autre blog montre une vidéo d'un groupe de Blancs à Sainte-Luce, le mercredi des cendres. L'interprétation qui en est donnée est que les Blancs refusent le "vivre ensemble".
Ils auraient vraiment refusé le "vivre ensemble" en étant restés chez eux, ou à leur hôtel. Et il n'y aurait pas eu d'article !
Ceci étant, il y avait à Fort-de-France un groupe d'Haïtiens, derrière son drapeau. Les années précédentes, j'ai vu un groupe brésilien, un autre dominicain... On ne leur a rien reproché. Mais quelques Blancs, sans même un drapeau BBR, ça donne de l'urticaire à certains.
A Paris, il y a pourtant un carnaval tropical, auquel participent une majorité d'Antillais.
On dirait que certains Martiniquais veulent se réserver le carnaval. Les Blancs qu'on voit dans les groupes ne devraient pas dépasser un seuil de tolérance. Il s'agirait de leur part d'une "appropriation culturelle". Peu importe que le carnaval soit né en Europe et se trouve corrélé au christianisme occidental.
Mais surtout, l'esprit du carnaval, c'est la transgression, l'inversion des valeurs.
Le lundi, avec les mariage burlesques, les hommes sont femmes et les femmes sont hommes. Et si l'on persiste dans la colorimétrie noir/blanc, les Noirs devraient pouvoir être blancs et les Blancs devraient pouvoir être noirs. En Amérique du Sud, il existe un carnaval des Noirs et des Blancs.
Bref, dans ces conditions, le carnaval martiniquais s'oriente vers des parades costumées sponsorisées par de grands groupes commerciaux, au son du rap. Des Martiniquais défileront sagement tandis que les Blancs, résidents ou touristes, regarderont derrière des barrières, dans un "vivre ensemble" chacun de son côté.
Certains Martiniquais commencent à me faire chier.
Rose
24/02/2023 - 12:15
Certaines personnes sont de vrais schizophrènes : le lundi ,ils accusent les Métros de vivre en ghetto fermés repliés dans des communes ou quartiers bien précis ,refusant donc de se mêler à la population noire .Encore que ...mais bref ....OK Admettons !!!
Et puis le mardi LES MEMES PERSONNES hurlent car il y aurait "trop " de Métros au Carnaval .....alors que justement ces carnavaliers "blancs" ont laissé leurs prétendus ghettos pour se mêler à une magnifique fête locale...Quand les "Blancs " sont entre eux ,(pour autant que ce doit prouvé d'ailleurs ) on n'est pas content ;quand ils se mêlent à la population locale et à une fête conviviale de partage ,on n'est pas content non plus ...............KI SA NOU LE EGZAGTEMAN ?