Il y a en ce moment un procès très médiatique qui se déroule devant la Cour Criminelle de Paris.
Personne n'a été tué mais une robe noire avait pour fâcheuse habitude d'enfoncer ses doigts dans la coucoune d'une de ses stagiaires sans lui en demander la permission-s'il-te-plait.
C'est sévèrement puni par la loi qui considère ce "doigtage" comme un viol et même, dans le cas qui nous occupe, un viol aggravé vu que la robe noire avait autorité sur ladite stagiaire. Les défenseurs de la robe noire s'emploient à démentir les accusations de la jeune femme et l'accusé clame son innocence urbi (te) et orbi (te). Ils multiplient les chinoiseries juridiques, ce qui est tout à fait normal vu que c'est leur boulot.
Sauf que les dénégations, démentis et décrédibilisations de la victime ne semblent pas trop marcher auprès des juges, murés dans leurs certitudes. Or, il y a un argument-massue qui pourrait sauver la tête de leur illustre client lequel risque 20 ans de prison et la radiation à vie du barreau.
Quel argument ?
Celui-ci : l'accusé voulait simplement changer de métier car son cabinet était en redressement judiciaire. D'avocat, il voulait se transformer en gynécologue et c'est ce qui explique que pour s'entrainer à pratiquer son futur métier il mettait régulièrement des doigts à sa stagiaire.
CQFD !
...sociales "extrajudiciaires" fortes et déterminées, sur la durée, pour que les choses changent Lire la suite
...un verdict récent alors !
Lire la suiteAvec un "C" à la fin ??? Ce négro-franchouillard ne sait même pas écrire le créole. Lire la suite
...parfois ,il a "fait exprès" ou c'est du "deuxième degré"...(la suite sans changement)
Lire la suite...mais c’est pas grave. L’essentiel est que vous ayez compris. Lire la suite