L'incident entre le Président de la CTM, Serge Letchimy, et un syndicaliste représentant un syndicat qui avait traité la CTM d'"Habitation" à savoir de plantation esclavagiste a tout d'un combat de coqs.
D'un mauvais combat de coqs.
On y mesure, en effet, à quel point ce "Président" ne dispose d'aucune autorité réelle et n'est en fait qu'un chef indigène dénué de réels pouvoirs. Ceux qui se réjouissent de cet incident et le démolissent sur les réseaux sociaux sont de fieffés imbéciles car AUCUN PRESIDENT DE COLLECTIVITE LOCALE n'a de réel pouvoir dans cette Martinique peuplée de consommateurs désireux de consommer comme en "Métouopole" tout en... détestant cordialement cette dernière.
Quant aux prétendues "forces vives" (partis politiques, syndicats, intellectuels, artistes etc...) qui se réjouissent de voir ce "Président" perdre une nouvelle fois la face (la première fois ce fut devant un quarteron d'aligneurs de prix sur la Métouopole), ils ne savent pas ou font semblant de ne pas savoir que c'est LA MARTINIQUE TOUTE ENTIERE QUI PERD LA FACE. Mais après tout, il y a belle lurette que cette île n'est plus ni une nation ni un pays (et ne sera sans doute jamais un Etat) ! Juste un territoire en voie d'"hawaïsation" selon l'expression d'Edouard Glissant dont le nom n'évoque guère plus que la dénomination d'un collège au Lamentin lequel collège aurait fort bien pu s'appeler Jean Tartempion que ça ne ferait ni chaud ni froid à personne.
Voici ci-après le communiqué publié par la CTM après ce mauvais combat de coqs...
...À une époque pas si lointaine, l’adjectif qualificatif "national" était fréquemment utilisé po Lire la suite
ce sera très drôle! Lire la suite
...vous vous bouchez les yeux quand il s'agit d'identifier les VRAIS responsables de la situation Lire la suite
Les propos de Crusol sont gravissimes .C'est néanmoins une analyse originale qui mérite qu'on s'y Lire la suite
Rien de plus facile que de modifier la constitution. Lire la suite