Tout un chacun se souvient de l'hystérie qu'avait déclenché la demande d'une subvention (à hauteur de 500.000 euros) faite par les producteurs de la série française Tropiques criminels qui est tournée à la Martinique. Demande adressée à la CTM (Collectivité Territoriale de Martinique).
Elus (es) du PPM, du RDM, de PEYI-A surtout étaient montés au créneau pour dénoncer cette aide à une série qui pourtant emploie des techniciens martiniquais, qui fait vivre restaurants, loueurs de voitures et de logements et qui surtout est regardée non seulement dans l'Hexagone mais dans une bonne douzaine de pays. Bref, la demande avait été sèchement rejetée, les Niloristes en profitant pour porter un énième coup de Jarnac au "Gran Sanblé" avec l'appui des Letchimistes.
Hé ! Hé ! Voici que ladite demande est revenue sur le tapis ces jours-ci.
Et que croyez-vous qu'ils se passa ? Ceci : les mêmes qui avaient voté contre la subvention, le plus souvent pour des motifs fallacieux (du genre : Tropiques criminels est une série "colonialiste") et purement politiciens, l'ont cette fois-ci...votée. Comprenne qui pourra ! Alors, ils et elles vous diront que ladite subvention a été diminuée de moitié puisqu'elle est de 225.000 euros maintenant.
La belle affaire !
On a le personnel politique que l'on mérite. Celui-ci est à l'image d'une Martinique d'enfants gâtés dont toute la Caraïbe se rit. Et il y a de quoi puisque le chef de PEYI-A avait déclaré haut et fort que le terme "Tropiques" est offensant pour la Martinique. Sans doute n'avait-il jamais entendu parler de la célèbre revue dirigée par Aimé Césaire sous le régime de l'Amiral Robert...
...toute la "classe politique" (qui n’est d’ailleurs pas une "classe sociale") sur le même plan ? Lire la suite
...ou ka trouvé tout diks-li, òben yo ka viré enprimé tou sa i fè-a vitman présé! Lire la suite
...À une époque pas si lointaine, l’adjectif qualificatif "national" était fréquemment utilisé po Lire la suite
ce sera très drôle! Lire la suite
...vous vous bouchez les yeux quand il s'agit d'identifier les VRAIS responsables de la situation Lire la suite