Le président intérimaire d'Haïti a donc été chaleureusement reçu à l'Elysée.
Surnommé "Ti Chinwa" par des compatriotes et portant le nom ô combien français de (Leslie) Voltaire, est-ce une raison valable pour qu'il oublie deux choses :
. l'une anecdotique : Emmanuel Macron avait publiquement traités les Haïtiens de "cons" lors d'une récente visite au Brésil.
. l'autre considérablement plus importante : la France avait imposé au nouvel Etat, qui avait changé son nom colonial de Saint-Domingue en "Haïti" (terme amérindien signifiant "Terre des hautes montagnes"), un soi-disant "dette", en réalité une rançon d'un montant de 150 millions de franc-or. De 1925 à 1939, Haïti avait été obligée de la lui verser en "dédommagement des pertes subies par les colons" ! C'est cette rançon de plus d'un siècle qui a empêché les différents gouvernements du pays d'y construire des écoles, des hôpitaux, des routes, des ports etc...et de développer l'économie.
Des économises étasuniens ont évalué cette rançon autour de 27 milliards de dollars d'aujourd'hui.
Espérons que Ti-Chinwa a demandé à Macron de rembourser cette somme sans délai à Haïti !
C'est la moindre des choses !!!Qu'on ne vienne pas nous bassiner avec l'argument éculé selon lequ Lire la suite
Mwen pa sav, mé sé bon réfleksyon. Ou sé di ki F k an grèv sé jou tala. Lire la suite
Ce célébrissime chant de guerre maori est enseigné (j'espère que c'est encore le cas ) depuis qq Lire la suite
"Confronté à la justice pour son départ en retraite". Lire la suite
D'une mauvaise foi abyssale. Vous faites semblant de ne pas comprendre de quoi il s'agit. Lire la suite