"Métiers sous tension", cette expression revient sans cesse ces temps-ci dans le débat sur l'immigration qui se déroule ans la Patrie des Droits de l'Homme (Blanc).
Cela renvoie tout simplement aux boulots que Dupont-Lajoie, pardon, le Français moyen, ne veut plus du tout exercer : serveur et plongeur, femme de ménage, aide-cuisinier, éboueur et balayeur de rue, nounou, vigile, maçon et employé du bâtiment etc...Métiers dans lesquels les immigrés de toutes nationalités, du Sri-Lankais au Sénégalais, du Roumain au Maghrébin, se sont engouffrés depuis des décennies déjà. Sauf que leur présence pose problème aux autochtones et que les sondages sont clairs, nets et précis : 67% des Français ne veulent pas que la loi sur l'immigration qui sera votée accorde un visa de résidence à ces étrangers qui exercent des métiers sous tension. Or, c'est ce que veut le gouvernement !
On se retrouve alors dans la situation paradoxale où Darmanin est plus "progressiste" que Dupont-Lajoie. Ou plus réaliste en fait car sans ces étrangers, qui nettoiera les chiottes ? Qui ramassera les poubelles ? Qui risquera sa peau sur les chantiers du bâtiment ? Terrible dilemme donc ! Or, à bien regarder, une solution très simple est envisageable : remettre en pratique le système qui était en vigueur dans l'Afrique du Sud de l'Apartheid. On se souvient, en effet, que chaque matin des dizaines de milliers de Noirs débarquaient par trains entiers dans les villes blanches depuis leurs ghettos, faisaient les travaux dont les Blancs ne voulaient pas et avaient l'obligation de regagner leurs tanières en fin de journée sous peine d'emprisonnement. Système si parfait qu'il dura plus d'un siècle !
Pourquoi donc ne pas le réutiliser en France et en Navarre ?
Heu...Mais qu'est-ce que nous racontons ? Mais, non, ce n'est pas la solution rêvée. Et pourquoi ? Parce que c'est le système qui existe DEJA dans les grandes villes françaises...
Il faut être un sacré farceur pour faire croire aux Martiniquais qu'un deuxième Cuba est possible Lire la suite
...toute la "classe politique" (qui n’est d’ailleurs pas une "classe sociale") sur le même plan ? Lire la suite
...ou ka trouvé tout diks-li, òben yo ka viré enprimé tou sa i fè-a vitman présé! Lire la suite
...À une époque pas si lointaine, l’adjectif qualificatif "national" était fréquemment utilisé po Lire la suite
ce sera très drôle! Lire la suite