Après l’obtention de son bac à Casablanca au Maroc en 2019, Oumaima n’avait qu’une chose en tête. "Faire des mathématiques et de la physique en même temps", confie celle qui rejoindra ensuite la classe préparatoire du lycée Mohammed VI d'Excellence de Ben Guerir.
Campus marocain futuriste
"Je savais qu’intégrer une classe préparatoire était le bon choix", poursuit-elle. Pour intégrer une grande école française ? Pas forcément : "Je savais que ça pouvait être gratifiant, que ça pouvait être dur, mais je n’avais pas encore en tête une école précise car nous avons aussi des écoles d’ingénieurs au Maroc."
Là-bas, immergés dans le campus futuriste de Ben Guerir, non loin de Marrakech, les étudiants en prépa disposent d’infrastructures et autres laboratoires de très grande qualité. Après un cycle d’études de deux ans, ces derniers passent les concours qui leur donnent accès aux grandes écoles marocaines et françaises.
"On ne sent vraiment pas seul, rassure Oumaima. L’équipe pédagogique se mobilise pour aider chaque élève à développer son potentiel. Nous ne sommes pas plus de 25 élèves par classe."
"Organisation et régularité"
Elle insiste également sur l'ouverture sociale de l'établissement. "C’est une prépa qui aide les personnes issues de milieux sociaux défavorisés. C’est pourquoi la formation est quasi-gratuite pour la plupart des étudiants. Il y a également des aides apportées aux frais liés aux concours des grandes écoles."
Même si le confinement a rendu le quotidien plus compliqué, Oumaima raconte avoir vu "beaucoup d’étudiants, pas forcément brillants en première année, sortir du cursus avec un très bon niveau". Selon elle, "la clé, c’est l’organisation et la régularité". Avant d’avouer : "Moi aussi, j’ai connu un coup de mou, j’ai commencé à lâcher, avant de rapidement me remobiliser. Le travail paie."
photo : Oumaima, symbole de la qualité des prépas marocaines© Fournis par L'étudiant
T'es QUI pour donner des leçons et admonester ceux que tu appelles "les défenseurs martiniquais d Lire la suite
Scandaleux ,certes mais beaucoup moins que le sort actuel des Subsahariens en Tunisie à l’heure o Lire la suite
...enculés ces politiques "de gauche" qui suçaient le Béké Hayot !
Lire la suite...man pa ka sisè pèsonn KRA KRA!!!... "Nuit noire", mwen kèy réponn ou pi ta, OK? Lire la suite
Adjindjin moin ka métté ou adjindjin, bougue ! Foutte ou siceptib, ébé ! Lire la suite