Education : le gouvernement sud-coréen interdit les cours après...22h

   Vous avez bien lu : après 22h ! Comme on peut le voir dans la vidéo ci-après, les élèves sud-coréens suivent des cours matin et après-midi comme tous les élèves du monde, puis en fin d'après-midi, ils en suivent d'autres dans des écoles privées, cela quasiment non-stop jusqu'à minuit parfois. Ce à quoi le gouvernement sud-coréen a mis fin en fixant une heure-limite à savoir 22h. 

RANDO : SUR LES TRACES ABANDONNÉES DU MORNE GENTY

Tan fè tan, tan kité tan ! L’état de dégradation manifeste de ce magnifique sentier du Morne Genty vient bousculer nos souvenirs d’antan. Cependant, notre émerveillement pour ces monuments naturels du Sud-Ouest nous empêche d’accepter l’inaction de l’ONF et l’absence de valorisation de ces sites exceptionnels qui forgent l’admiration des connaisseurs et des rares visiteurs que nous avons croisés.

La faim ne vaut pas les moyens

   Un cas d'école. Pas de prix étudié pour les étudiants. Pour eux, le repas à 1 euro...c'est non. Ainsi en a décidé une poignée de législateurs trop fins gourmets pour goûter aux vicissitudes de la vie réelle. Celle que connait une large proportion de leurs pourtant concitoyens. 

14 FÉVRIER 1974

Sur le plateau Chalvet

tous ensemble ils marchaient,

leur commune misère

d’étendard leur servant,

de cinq malheureux francs

désirant seulement

augmenter leur salaire

trop maigre au demeurant

afin que leurs enfants

ne meurent pas de faim

pour aller à l’école.

KREYOLAD 962 - Vié lodè fion

Anlot radar pri difé sanmdi oswè pa koté Sent-Lis. Es sé chalè kannaval-la oben Gang Radaris-la?

Jik atjelman jendam ka chaché toujou.

Tierno Monénembo : "Ce roman est un éloge à l'Algérie"

ENTRETIEN. "Bled" est le dernier roman de l'écrivain guinéen, qui, après avoir exploré, le génocide rwandais, la saga du peuple Peul, aborde l'Algérie, où il enseigna dans les années 1980.

La Flambeau, ou quand la mythologie haïtienne vient à la rescousse de l’opéra

L’atmosphère était fébrile à la salle Pierre-Mercure, la soirée du 7 février. S’y trouvait une foule particulièrement dense et animée, comme si quelque chose d’exceptionnel se préparait. Et pour cause : on venait assister à la création mondiale de l’opéra La Flambeau, une œuvre attendue du compositeur québécois d’origine haïtienne David Bontemps, sur un livret de Faubert Bolivar, dans une production de l’Orchestre classique de Montréal.

Févriyé 1974 : sé travayè bannann ki, avan tout moun, goumen kont klowdékòn

    Laplipa Matinitjé pa sav ki primié moun ki goumen kont klowdékòn ek dot pestisid sé travayè bitasion bannann nan li-Nò Matinik. Pa koté Sent-Mari, Marigo, Loren ek soutou Baspwent. 

Bananes amères, la misère des planteurs antillais

   Au-delà de l'empoisonnement des terres antillaises par le chlordécone et le scandaleux non-lieu qui a été dernièrement prononcé dans cette affaire, la banane antillaise fait face à une situation très grave sur le marché français et européen...

« Il faut sublimer la part lumineuse des Beaufs et des Barbares » – Un entretien avec Houria Bouteldja

Azadî : Dans ton nouveau livre paru aux éditions La Fabrique, tu as choisi comme sous-titre « Le pari du nous » alors qu’il y a déjà un « nous » dans ton premier livre Les Blancs, les Juifs, et Nous. Ce dernier « Nous » semble être un « Nous » d’indigènes, alors que le « Nous » de ton nouveau livre semble inclure d’autres catégories. Quelles sont-elles ? Qui est ce « Nous » ?