Dans l'entre-deux-guerres, au fameux Bal de la Rue Blomet, non loin de Montparnasse, on assista à une étrange cohabitation : celle travailleurs antillais (ouvriers des usines Peugeot et Renault, servantes, employés d'hôtel etc.) et du Tout-Paris (artistes, écrivains, journalistes, politiciens, industriels etc.). S'ajoutaient des étrangers célèbres comme les peintres japonais Foujita et espagnol Picasso, les écrivains américains Ernest Hemingway et Scott Fitzgerald, et même le Prince de Galles ! C'est là aussi que Joséphine Baker fit ses premiers spectacles.
Comment ces deux populations si différentes non seulement au plan ethnique mais surtout au plan culturel et social ont-elles pu coexister ? C'est ce que Raphaël Confiant nous décrit dans son roman Le Bal de la rue Blomet qui vient de paraître aux éditions Mercure de France...
Frédéric C : Voilà les commentaires que vous écriviez vous-même dernièrement suite à l’article du Lire la suite
Cette grosse spoliation subie par notre jeunesse, me peine toujours autant.. Lire la suite
..., et malhonnêtement ! Lire la suite
T'es QUI pour donner des leçons et admonester ceux que tu appelles "les défenseurs martiniquais d Lire la suite
Scandaleux ,certes mais beaucoup moins que le sort actuel des Subsahariens en Tunisie à l’heure o Lire la suite