Dans l'entre-deux-guerres, au fameux Bal de la Rue Blomet, non loin de Montparnasse, on assista à une étrange cohabitation : celle travailleurs antillais (ouvriers des usines Peugeot et Renault, servantes, employés d'hôtel etc.) et du Tout-Paris (artistes, écrivains, journalistes, politiciens, industriels etc.). S'ajoutaient des étrangers célèbres comme les peintres japonais Foujita et espagnol Picasso, les écrivains américains Ernest Hemingway et Scott Fitzgerald, et même le Prince de Galles ! C'est là aussi que Joséphine Baker fit ses premiers spectacles.
Comment ces deux populations si différentes non seulement au plan ethnique mais surtout au plan culturel et social ont-elles pu coexister ? C'est ce que Raphaël Confiant nous décrit dans son roman Le Bal de la rue Blomet qui vient de paraître aux éditions Mercure de France...
1) Foutez la paix à Karl Paolo ,il n'a rien à voir avec moi!! Lire la suite
Voici donc que le dénommé "CID", énième pseudo d'un dérangé du cerveau islamophobe, revient dans Lire la suite
...dans TOUS les pays, OUI, y compris en ISRAËL, où les "Arabes" Palestiniens sont en train d’êt Lire la suite
Superbe idée cette loi contre la négrophobie .Vivement qu'on l'applique ..au Maghreb .(Algérie ,T Lire la suite
...qui figure au milieu de l'article est à la fois effarante et accablante.
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