La question de lʼinsécurité submerge la Martinique. On vient de dépasser le 26ème homicide. Ce qui frappe cʼest que nous semblons avoir franchi une étape dans ce quʼon peut appeler le “crime organisé”
Il faut être un sacré farceur pour faire croire aux Martiniquais qu'un deuxième Cuba est possible Lire la suite
...toute la "classe politique" (qui n’est d’ailleurs pas une "classe sociale") sur le même plan ? Lire la suite
...ou ka trouvé tout diks-li, òben yo ka viré enprimé tou sa i fè-a vitman présé! Lire la suite
...À une époque pas si lointaine, l’adjectif qualificatif "national" était fréquemment utilisé po Lire la suite
ce sera très drôle! Lire la suite
Commentaires
La preuve par 9.
OuiNon
01/12/2022 - 15:31
La preuve qu'un changement de système diminuerait la violence nous est donnée par les pays des Antilles de statuts différents.
Tous ont un taux d'homicides moindre sauf neuf, semble-t-il : Antigue, la Dominique, Haïti, Grenade, la Jamaïque, la République dominicaine, Saint-Vincent, Sainte-Lucie, Trinidad.
LES AUTRES
Albè
02/12/2022 - 09:59
Barbade, Antigue, St-Kitts, Cuba, Puerto-Rico, ïles Vierges, Curaçao etc...ont un taux d'homicides moindre que celui de la Martinique.
Chiffres
OuiNon
02/12/2022 - 15:33
Aujourd'hui"hui, tout le monde est savant avec Wikipédia, n'empêche que, sauf erreur toujours possible, le taux d'homicides en Martinique pour 100.000 habitants était de 6 en 2021, tandis qu'il semble qu'il était de :
- 14,3 à Barbade (2020)
- 9,2 à Antigua (2020)
- 18,8 à Saint-Kitts (2020)
- 19,3 à Porto Rico (2020).
Il est vrai que pour ceux qui se fient aux statistiques cubaines, il y était de 5 en 2016, dernière année pour laquelle j'ai trouvé une info.
Où il apparaît que la liaison entre le "système" et la violence est éminemment discutable, raison pour laquelle l'article s'abstient de toute comparaison chiffrée.
En fait, les articles de l'espèces sont la répétition d'un même plan : d'abord l'exposé d'un certain nombres de choses présentées comme négatives (parfois à juste titre, ce qui renforce la crédibilité du propos) puis la conclusion, toujours la même : il faut changer le système. Sans jamais expliquer par quels voies et moyens, chiffres à l'appui, le nouveau système améliorerait la situation. Ce qui n'est pas à exclure d'ailleurs, mais ça n'est jamais démontré.