Fils d'un riche aristocrate français et d'une mère antillaise, le chevalier de Saint-Georges débarque en France en 1758. Il participe aux fêtes du Palais-Royal et de Versailles, où ses talents de bretteur, ses compositions musicales et ses conquêtes féminines défraient la chronique. Rejeté par les siens à la Révolution, il sombre dans la misère et la déchéance.
Rien de nouveau sous le soleil ! Lire la suite
Je signerais ce texte des deux mains et des deux pieds.
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Les Africains font ami-ami avec les Arabes et c'est nous, Antillais, qui devons dénoncer le "raci Lire la suite
Frédéric C : Voilà les commentaires que vous écriviez vous-même dernièrement suite à l’article du Lire la suite
Cette grosse spoliation subie par notre jeunesse, me peine toujours autant.. Lire la suite