En visite en Corse ces jours derniers, Emmanuel Macron y a déclaré vouloir que "la langue corse soit mieux enseignée". Pour ce faire, "un service public de l'enseignement en faveur du bilinguisme sera mis en oeuvre."
Et le président français d'ajouter : "Il nous faut donner plus de place à la langue corse dans l'enseignement comme dans l'espace public". Sinon, en Espagne, à peu près au même moment, le gouvernement de gauche s'est vu contraint de co-officialiser le catalan, le basque et le galicien aux côtés du castillan au sein de l'Assemblée nationale où un système de traduction simultanée a été instauré.
On n'a entendu aucun Corse ni aucun Catalan, Basque ou Galicien déclarer qu'il y a plus important que la langue et qu'il faut d'abord résoudre les problèmes de chômage, d'inégalités sociales, de trafic de stupéfiants, de violence masculine ou de pollution. Il n'y a qu'en Martinique où des abrutis, qui ont honte de leurs grands-parents Neg-Djinen et Kouli-Mandja qui coupaient la canne pour le Béké et qui s'imaginent être "arrivés" parce qu'ils ont un petit diplôme d'enseignant de collège ou de médecin généraliste, à être vent debout contre la co-officialisation du français et du créole votée pourtant à l'unanimité moins une voix par la Collectivité Territoriale de Martinique.
Quand Macron viendra un jour dire à propos du créole ce qu'il vient de déclarer à propos du corse, ces assimilationnistes (de droite et de gauche) en seront pour leurs frais...
Donc si je comprends bien , il ne fallait pas participer à la répression des Brigades Rouges ,de Lire la suite
Il parait, selon un commentateur d'ordinaire plus avisé et surtout plus prudent que "Les Martiniq Lire la suite
...Ès i ka konpwann sa i ka di-a?... Lire la suite
J'ai écouté la vidéo dans laquelle la dame pleurniche sur cette agression noiriste et il me sembl Lire la suite
Au site-Internet Fondas Kréyol ou alors à tous ses lecteurs et lectrices ? Lire la suite