Avant la cérémonie de remise de la distinction, le président Diaz-Canel a reçu Gonsalves, avec lequel il a eu des conversations officielles.
Le Premier secrétaire du Comité central du Parti communiste de Cuba et président de la République, Miguel Diaz-Canel Bermudez, a décerné jeudi l'Ordre national de José Martí à l'honorable Dr Ralph Everard Gonsalves, Premier ministre et ministre des Affaires étrangères, de la Sécurité nationale, des Affaires juridiques et de l'Information de Saint-Vincent-et-les-Grenadines, pour sa contribution à l'approfondissement des liens d'amitié, de fraternité et de coopération entre les deux pays, et sa défense de l'unité des Caraïbes et de l'Amérique latine.
En ce jour où les deux nations célèbrent le 30e anniversaire de l'établissement de leurs relations diplomatiques, il a été rendu hommage à la position inébranlable de Gonsalves contre le blocus économique, commercial et financier imposé à Cuba par les États-Unis, ainsi qu'à sa ferme défense de l’œuvre humaine et solidaire accomplie par les brigades médicales cubaines.
Cette décoration, la plus haute distinction honorifique instituée par Cuba, a également récompensé son leadership et son activisme contre les injustices du colonialisme et la demande de compensation pour les horreurs de l'esclavage.
Ses idées en matière de défense des peuples, d'autodétermination, de souveraineté et d'indépendance, sa contribution à l'ALBA-TCP et à d'autres mécanismes d'intégration et de coopération régionales ont également été reconnues.
Ralph Gonsalves a déclaré que son pays et la communauté des Caraïbes étaient profondément honorés de recevoir cette décoration, et qu'il la recevait avec gratitude et humilité. « Elle ne m’appartient pas à moi, elle appartient à notre peuple des Caraïbes », a-t-il souligné à propos de l'Ordre national de José Marti.
Il a réaffirmé, au nom des Caraïbes et de Saint-Vincent-et-les-Grenadines, sa profonde admiration pour Marti, pour Fidel, pour la Révolution cubaine et son peuple. « Cette admiration est une marque indélébile qui ne pourra jamais être effacée », a-t-il signalé.
Il a aussi évoqué avec admiration la figure de José Marti, à qui il a rendu hommage en déposant une gerbe au pied du Monument national de la Place de la Révolution.
Il faut être un sacré farceur pour faire croire aux Martiniquais qu'un deuxième Cuba est possible Lire la suite
...toute la "classe politique" (qui n’est d’ailleurs pas une "classe sociale") sur le même plan ? Lire la suite
...ou ka trouvé tout diks-li, òben yo ka viré enprimé tou sa i fè-a vitman présé! Lire la suite
...À une époque pas si lointaine, l’adjectif qualificatif "national" était fréquemment utilisé po Lire la suite
ce sera très drôle! Lire la suite