La famille Trevelyan possédait plus de 1000 esclaves au 19e siècle. Elle avait reçu compensation financière lors de l'abolition de l'esclavage en raison de la perte de ces bras. Ses descendants ont décidé de présenter leurs excuses.
Un acte fort et inédit. Une famille aristocrate britannique va présenter des excuses et payer des réparations au nom de leurs ancêtres qui étaient propriétaires au 19e siècle de 1004 esclaves sur l'île de Grenade, ancienne possession britannique dans les Caraïbes, rapporte samedi The Guardian.
La famille Trevelyan s'est accordée la semaine dernière pour se rendre dans les Caraïbes, là où leur famille possédait six plantations de canne à sucre, afin de présenter des excuses publiques et prévoit de verser des réparations, ce qui serait une première. Pour l'instant, 42 membres de cette famille sont signataires de la lettre.
"Nous voulons montrer l'exemple, en espérant que d'autres suivront", explique John Dower, un membre de cette famille.
La lettre d'excuses qui doit être lue par les Trevelyan commence ainsi: "Nous, sous-signés, écrivons pour présenter nos excuses au nom des actes réalisés par nos ancêtres en ayant réduits vos ancêtres à l'esclavage".
"L'esclavage était et continue d'être inacceptable et répugnant. Ses dommages perdurent encore aujourd'hui. Nous désavouons l'implication de nos ancêtres dans cette pratique", indique encore la lettre.
Les Treveyan demandent à l'exécutif britannique d'agir à son tour et d'offrir des "réparations appropriées" aux gouvernements des Caraïbes, notamment via la Commission nationale de réparations de Grenade.
T'es QUI pour donner des leçons et admonester ceux que tu appelles "les défenseurs martiniquais d Lire la suite
Scandaleux ,certes mais beaucoup moins que le sort actuel des Subsahariens en Tunisie à l’heure o Lire la suite
...enculés ces politiques "de gauche" qui suçaient le Béké Hayot !
Lire la suite...man pa ka sisè pèsonn KRA KRA!!!... "Nuit noire", mwen kèy réponn ou pi ta, OK? Lire la suite
Adjindjin moin ka métté ou adjindjin, bougue ! Foutte ou siceptib, ébé ! Lire la suite