Litérati kréyol

"Un Créole en Asie" du géographe guadeloupéen Max Etna

     Ce livre est une relation de voyage originale d'un Caribéen passionné de géographie et de lettres dont la trajectoire l'a conduit à franchir les portes taraudeuses de l'Orient asiatique. Au cours d'une tranche de vie de deux années, l'auteur, afro-descendant amarré à sa créolité des Amériques, s'installe dûment dans la « Découverte ! ».

Médiathèque du Saint-Esprit : restitution du colloque sur l'oeuvre de Raphaël Confiant

   L'an dernier, l'association MICELA et sa présidente Patricia Conflon organisaient, en partenariat avec la Médiathèque du Saint-Esprit et sa directrice Yaïssa Bolivar, un colloque sur l'oeuvre de l'écrivain martiniquais Raphaël Confiant. Deux professeurs d'université, Corinne Mencé-Caster (La Sorbonne) et Cécile Elisabeth-Bertin (Université de Limoges), apportèrent leur concours à l'opération.

Le bal de la rue Blomet, Raphaël Confiant (par Stéphane Bret)

Le Paris des Années folles est souvent regardé comme un lieu d’échanges nombreux, de rencontres multiples, de brassages les plus divers : cette ville a vu s’installer dans ses murs des écrivains américains de la « génération perdue », tels que Hemingway, Gertrude Stein, Francis Scott Fitzgerald, elle a permis l’accomplissement de l’école de Paris, qui regroupa alors les peintres les plus divers comme Foujita, Chagall, Soutine et bien d’autres.

Archive, témoignage et fiction : le traitement du marronnage dans Biografía de un cimarrón , de Miguel Barnet, et Nègre marron, de Raphaël Confiant

Introduction : Au cours des trente dernières années, le marronnage s’est constitué en tant qu’objet d’étude littéraire, et non plus seulement historique. En témoignent par exemple la publication d’une anthologie intitulée Ô fugitif : anthologie autour de la figure du marron[1], ainsi que celle de divers travaux de recherche, à l’instar de la thèse de doctorat réalisée par Alexandra Roch en études anglophones, Le marronnage dans la littérature caribéenne[2].

"Le passeur de rimes" d'Emmanuel de Reynal

     Il venait de quitter ses vieux bocages vendéens pour atterrir dans ce petit collège martiniquais du bout du monde. Il avait posé ses valises au Morne-Rouge, au pied de la montagne Pelée. Il était venu avec l'ambition d'offrir à ses élèves une aventure poétique inédite. Il n'imaginait pas que cette aventure les mènerait aussi loin… Le passeur de rimes est une promenade dans les chemins martiniquais, rythmée par de mystérieux sonnets dont l'auteur anonyme semble tirer d'étranges ficelles. Qui se cache derrière ces poèmes ? Pourquoi surgissent-ils ainsi, à l'improviste ?

Pierre Sainte-Luce, engagé au service des autres

   Médecin, aviateur, chef d'entreprise, écrivain, mécène, Pierre Saint-Luce est une personnalité peu commune et fort appréciée tant dans son île natale, la Guadeloupe, qu'en Martinique. Il est également un important mécène qui soutient les arts.

Retour sur le colloque « L'œuvre de Raphaël Confiant : avant et après l'Éloge de la Créolité »

Ce colloque organisé par l'Association MICELA (Maison Interculturelle des Ecrivains et des Littératures des Amériques) et sa présidente, Patricia Conflon, https://fondaskreyol.org/article/colloque-international-26-27-et-28-octobre-sur-loeuvre-de-raphael-confiant s’est déroulé les 26, 27 et 28 octobre 2021.

La poétesse Nicole Cage au forum "Droits humains et poésie" au Mexique

   Au Mexique se tient un important forum intitulé "Dignité, droits humains et poésie", forum auquel participe la poétesse martiniquaise Nicole CAGE dont le dernier ouvrage (quadrilingue : espagnol, français, créole et anglais), SPLASH, témoigne, si besoin en était, d'un talent littéraire de plus en plus affirmé au fil des années.

Grand-Z'Ongle, le quimboiseur le plus réputé de la Martinique

   Entre la fin de la Deuxième Guerre Mondiale et le milieu des années 60 un homme terrifia les âmes sensibles de la Martinique mais aussi des îles voisines. Il s'agit de Faustin Homat, dit

Le nouveau roman de Roland Brival

   Fils d'un riche aristocrate français et d'une mère antillaise, le chevalier de Saint-Georges débarque en France en 1758. Il participe aux fêtes du Palais-Royal et de Versailles, où ses talents de bretteur, ses compositions musicales et ses conquêtes féminines défraient la chronique. Rejeté par les siens à la Révolution, il sombre dans la misère et la déchéance.