Tel était le thème qu’ont décliné ce mardi 29 mai, 3 artistes de la place : Annabel Guérédrat, Henri Tauliaut, et Jean-Marc Bullet. Des artistes talentueux, lauréats de prix internationaux et qui exportent leurs arts (chorégraphie, arts plastiques, performances, design). Le dénominateur commun de ces artistes est une volonté de réconcilier l’homme martiniquais avec son environnement.
Ces artistes-chercheurs (Calédonnienne, Guadeloupéen et Martiniquais) à la manière de tout chercheurs explorent les limites de leur art. Ils refusent les sentiers battus pour des terrains inconnus. Et dire que Vincent Bullet expérimente un lasotè dans le parcours santé de Morne- Cabri ? En effet, cet espace qui accueille de nombreux promeneurs est de plus en plus phagocyté par la zone industrielle proche.
Ces éveilleurs de conscience ne cherchent pas tant à donner des leçons, mais à attirer l’attention sur un processus dont nous sommes les responsables : l’anthropisation ou effets délétères de l’humain sur son environnement. Une autre approche du réel médiée par l’art. Un genre qui tend à se développer et qui a vu des plasticiens de renom naître en terre littéraire.
Pour terminer, deux mots du nouvel espace qui a accueilli cette rencontre-débat : Le studio Lumina gérer par une autre artiste, qui lui, est photographe. Des espaces de parole dans un pays ou la palabre ne meurt jamais même si elle décline sous d’autres modalités, entre autre grâce à aux marqueurs de parole.
Rien de nouveau sous le soleil ! Lire la suite
Je signerais ce texte des deux mains et des deux pieds.
Lire la suite
Les Africains font ami-ami avec les Arabes et c'est nous, Antillais, qui devons dénoncer le "raci Lire la suite
Frédéric C : Voilà les commentaires que vous écriviez vous-même dernièrement suite à l’article du Lire la suite
Cette grosse spoliation subie par notre jeunesse, me peine toujours autant.. Lire la suite