Il est, en cette terre de la douce France , des Français issus de l’immigration comme Bardella , Zemmour ou Knafo qui n’ont rien bâti, rien donné, sinon du vacarme et des querelles stériles, dirigées — ironie suprême — contre ceux qui partagent pourtant la même origine. Ils aboient, complotent, gesticulent, mais que laissent-ils derrière eux, sinon l’écho creux de leurs vociférations ? Demandons-nous donc : quelle est leur véritable utilité pour la France ? Quant -ils donné à la France hors leur aboiement ?
Quelle trace tangible, quel fruit réel ont-ils laissés dans le sillage de la République ? Rien, si ce n’est une vie passée à se nourrir de l’État comme des sangsues accrochés sur les pauvres contribuables français .
Et pourtant, face à ce vacarme inutile des Bardella , Zemmour et Knado , se dressent d’autres figures, humbles, invisibles, mais ô combien essentielles : ces médecins étrangers qui travaille 70 heures par semaines et payés comme de simples infirmiers mais qui sauvent des vies chaque jour ; ces soignants d’EHPAD qui veillent 24h/24h sur nos anciens que leurs propres enfants ont délaissés ; ces éboueurs qui, dès l’aube, nettoient les rues des beaux quartiers où résident ces bobos inutiles , ceux-là mêmes qui se croient indispensables, mais ne sont que superflus.
Les étrangers que la France dénigre donnent, beaucoup et sans retour. Les autres , les Bardella , Zemmour et Knafo ne font que prendre. Voilà la différence entre ceux qui bâtissent une patrie et ceux qui ne sont qu’un poids mort à son histoire, des profiteurs applaudis par les plus crédules des électeurs .
Ce sont eux, ces invisibles, qui portent la France sur leurs épaules fatiguées. Et les autres ? Les autres, les Bardella , les Zemmour et les Knafo ne sont que parasites en cravate et en jupe , sangsues médiatiques logées dans les beaux quartiers, nourries par ceux qu’ils méprisent.
Qu’ils méditent ceci : on ne sert pas la France en aboyant à tout vent, mais en retroussant ses manches, en se mettant à l’ouvrage, silencieusement, dignement. Le patriotisme ne se crie pas — il se prouve.
Di ki dwa ou ka pèmet kò'w kontesté non an lang yo ka kriyé KREYOL dépi 4 siek ? Lire la suite
Bèl pasaj.
Lire la suite
...de celles et ceux qui sauvent l’honneur de l’Occident, qui ne le mérite pourtant pas. Lire la suite
...déporté, puis esclavagisé nos ancêtres pendant 3 siècles, elle nous versera des réparations QU Lire la suite
Mon titre est à double sens : 1) Il concerne le contenu du commentaire précédent QUI N'A STRICTE Lire la suite