Depuis ces vingt dernières années, sous l’impulsion de plus en plus forte d’écrivains immigrés, le champ littéraire au Québec semble être plus que jamais voué au décloisonnement culturel. Venus d’ailleurs, d’origines les plus diverses, ces « immigrants littéraires » relativisent les appartenances et interrogent les identités établies. En intégrant leur parcours migratoire, leurs voix singulières et une diversité de « lieux de mémoire » (réels et imaginaires) à la culture légitime du pays hôte, ils transcendent le concept même d’une littérature québécoise spécifiée comme « nationale », fondée sur les topiques de « quête d’identité » et les figures collectives du « pays », d’une « langue à soi » et d’unicité culturelle.
Me dit pas que t'es de la même trempe que Babette de Rozières ou Christine Kelly ! Lire la suite
...je voulais dire "sophisme". Mais je ne suis pas créoliste alors bon... Lire la suite
Sa sa lé di ? Man gadé adan pliziè diksionnè kréyol mé man pa wè mo-tala !
Lire la suiteOu ka plen mwen épi sé sofis-ou a!
Lire la suiteVotre truc n'est ABSOLUMENT PAS du deuxième degré. Lire la suite