Depuis ces vingt dernières années, sous l’impulsion de plus en plus forte d’écrivains immigrés, le champ littéraire au Québec semble être plus que jamais voué au décloisonnement culturel. Venus d’ailleurs, d’origines les plus diverses, ces « immigrants littéraires » relativisent les appartenances et interrogent les identités établies. En intégrant leur parcours migratoire, leurs voix singulières et une diversité de « lieux de mémoire » (réels et imaginaires) à la culture légitime du pays hôte, ils transcendent le concept même d’une littérature québécoise spécifiée comme « nationale », fondée sur les topiques de « quête d’identité » et les figures collectives du « pays », d’une « langue à soi » et d’unicité culturelle.
Sé sirè ou sirè, kon gran-lamatè mwen té enmen di. Lire la suite
...c’est passé sous mon haut ras-dard, pardon: mon radar, queue je vais rabaisser dare-dare (très Lire la suite
Albè, le tout premier exemple de barbarie chrétienne que je donne dans mon commentaire est celui Lire la suite
...Le génocide des Amérindiens, y compris dans la Caraïbe !! Lire la suite
S'il fallait établir un championnat du monde de la barbarie, je crois que l'Occident chrétien sor Lire la suite