Depuis ces vingt dernières années, sous l’impulsion de plus en plus forte d’écrivains immigrés, le champ littéraire au Québec semble être plus que jamais voué au décloisonnement culturel. Venus d’ailleurs, d’origines les plus diverses, ces « immigrants littéraires » relativisent les appartenances et interrogent les identités établies. En intégrant leur parcours migratoire, leurs voix singulières et une diversité de « lieux de mémoire » (réels et imaginaires) à la culture légitime du pays hôte, ils transcendent le concept même d’une littérature québécoise spécifiée comme « nationale », fondée sur les topiques de « quête d’identité » et les figures collectives du « pays », d’une « langue à soi » et d’unicité culturelle.
Le commentaire de MARTIN T@M@R ne "détourne " absolument pas le sens de l'article et reste d Lire la suite
...en détournant le sens de cet article est d'une indécence rare. Lire la suite
Et en plus, les mêmes qui sont censés savoir qu'il faut actuellement se débattre dans un gouffre Lire la suite
C'est vrai que ça contraste avec certaines situations rencontrées par ailleurs.
Lire la suiteLes Occidentaux (Européens + Etasuniens) ont TOUJOURS agi de la sorte avec les Amérindiens, les N Lire la suite