Greenpeace Afrique salue cette décision salutaire. Elle fait écho à l’appel de la CITES envers plusieurs États, dont la Gambie, de suspendre le commerce de bois de rose, une espèce protégée et particulièrement menacée, rappelle Greenpeace Africa dans un communiqué reproduit ci-dessous.
Greenpeace Afrique félicite les autorités gambiennes pour leur décision courageuse d’interdire les exportations de bois pour lutter contre l’exploitation illégale des forêts.
Le gouvernement gambien indique dans un communiqué rendu public le 1er juillet 2022 que : “Tous les permis existants délivrés pour l’exportation/la réexportation de bois sont définitivement révoqués” et ajoute que “l’exportation et la réexportation de bois sont interdites” dans le pays avec effet immédiat.
“L’exploitation illégale et abusive des forêts est une grande violation des droits des communautés qui en dépendent pour leur survie. De plus, ces forêts hébergent de nombreuses espèces protégées et constituent une réserve de carbone pour la Gambie. Les autres pays d’Afrique devraient suivre ce bel exemple gambien. Nous encourageons l’Etat gambien a continuer dans la même dynamique en prenant pareil mesure pour la gestion des ressources halieutiques », affirme Dr Aliou BA, responsable de la campagne océans de Greenpeace Afrique.
“La protection des forêts demeure une priorité car elles constituent un trésor de biodiversité et participent à l’équilibre et à la santé de notre planète. Il faut aussi noter que sans les forêts, la terre serait sans doute un désert. » ajoute Irène Wabiwa Betoko, cheffe de la campagne forêt chez Greenpeace Afrique.
Cette décision salutaire fait écho à l’appel de la Convention sur le commerce international des espèces menacées d’extinction (CITES) envers plusieurs États, dont la Gambie, de suspendre le commerce de bois de rose, une espèce protégée et particulièrement menacée.
L’Etat gambien a également pris une série de mesures strictes pour la protection des forêts et la lutte contre le trafic de bois, notamment avec l’interdiction de l’abattage et de l’importation d’espèces protégées.
Il faut être un sacré farceur pour faire croire aux Martiniquais qu'un deuxième Cuba est possible Lire la suite
...toute la "classe politique" (qui n’est d’ailleurs pas une "classe sociale") sur le même plan ? Lire la suite
...ou ka trouvé tout diks-li, òben yo ka viré enprimé tou sa i fè-a vitman présé! Lire la suite
...À une époque pas si lointaine, l’adjectif qualificatif "national" était fréquemment utilisé po Lire la suite
ce sera très drôle! Lire la suite