En pleine tempête tropicale, dénommée Bret, voici qu'une commune ultramarrante fait passer un message de vigilance à sa population, chose éminemment louable.
Sauf qu'il y a comme un couac (ou un couic) comme on peut le constater dans la vidéo ci-après. En effet, le préposé aux conseils de vigilance s'emmêle les pédales ou les pinceaux, sa langue glisse, s'échappe, tournevire parce que le bougre butte sur une roche. Enfin, un mot lourd comme une roche, quoi ! Pourtant ledit mot, "ouragan", n'est aucunement un mot colonialiste, un mot de la langue colonialiste plutôt puisqu'il provient de la langue des Kalinagos, les premiers habitants des "Isles Françoises de l'Amérique" : hurakan.
Que lui conseiller pour la prochaine fois (qui sera dans pas longtemps si l'on en croit Dame Météo) ? Eh ben, ceci : "Si tu ne sais parler ni le colbertien ni le kalinago, parle égyptien, bonhomme ! Mais oui, tu sais, cet idiome autrefois (salement) dénommé créole"...
Avant de devenir secrétaire général du PCF (à la suite de Georges Marchais) "le jeune maire de Mo Lire la suite
Je ne vois pas le rapport avec mon propos si c'est à moi que le votre s'adresse.
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Rien de nouveau sous le soleil ! Lire la suite
Je signerais ce texte des deux mains et des deux pieds.
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Les Africains font ami-ami avec les Arabes et c'est nous, Antillais, qui devons dénoncer le "raci Lire la suite