Ecouter les radio-libres qui utilisent le créole ou les politiciens qui emploient (démagogiquement) ce dernier lors des campagnes électorales a de quoi provoquer soit le fou-rire soit la colère chez les défenseurs de notre langue laquelle aborde son 4è siècle d'existence soit dit en passant.
C'est ainsi que l'expression "an fin fon", calque du français "au fin fond" est devenue courante, voire majoritaire alors que le créole en possède une bien à lui : an fondok/nan fondok. Comme dans la phrase suivante : Sé nan fondok lakanpay-tala fanmi Jilbè ka rété dépi konmen tan (La famille de Gilbert vit au fin fond de cette campagne depuis fort longtemps).
Sinon, an fondok possède une variante, moins fréquemment utilisée : an fonfonn/nan fonfonn.
...je ne suis ni juriste ni spécialiste des finances municipales ,mais le montage (c'est bien l Lire la suite
C'est la moindre des choses !!!Qu'on ne vienne pas nous bassiner avec l'argument éculé selon lequ Lire la suite
Mwen pa sav, mé sé bon réfleksyon. Ou sé di ki F k an grèv sé jou tala. Lire la suite
Ce célébrissime chant de guerre maori est enseigné (j'espère que c'est encore le cas ) depuis qq Lire la suite
"Confronté à la justice pour son départ en retraite". Lire la suite