Lors du Festival des Littératures Africaines du Maroc, qui s'est tenu dans la ville de Marrakech la semaine dernière et auquel ont participé des écrivains arabes, africains, européens, asiatiques, caribéens, sud et nord-américains, le célèbre philosophe français Edgard Morin s'est exprimé sur la situation dans le bantoustan de Gaza.
Ecoutons-le !
Arrêtons avec l'idéalisme ! Lire la suite
...oui j'oubliais une chose, importante par les temps qui courent. Lire la suite
... Lire la suite
Albè, quelqu'un a-t-il jamais nié l'existence d'un racisme anti-noir dans le monde arabe ? Lire la suite
Merci Frédéric...
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Commentaires
INVRAISEMBLABLE SUCCESSION DE CRIMES DE GUERRE A GAZA
MAMDIARRA DIAWARA
23/02/2024 - 08:13
Les crimes de guerre se succèdent à Gaza
1) Bombardements délibérés des terres agricoles .Soit 185 KM2 car sans lien avec les combattants. 15% des terres arables dégradées et 85% des côtes sous blocus.Ce sont des « actes délibérés de destruction arbitraire sans raison militaire ».
2) Blocage de 1049 containers au port et livraisons de produits alimentaires au compte-gouttes. Depuis le début de la guerre seuls 20 % des aliments habituels ont été livrés à GAZA dans le cadre d’un blocus depuis le mois d’octobre. Les importations alimentaires commerciales sont suspendues . La résolution 2417 de l’ONU: elle condamne l’utilisation de la famine comme arme de guerre ou le refus d’acheminer l’aide humanitaire qui est une violation caractérisée du droit international .De plus l’eau propre qui est réduite au stricte minimum.
3) Assasinat de bléssés à l'interieur d'hopitaux (y compris en Cisjordanie actuellement non-belligérante.
4) .D’après Khalil Abi Sally, c’est une « situation effroyable » :des millions de civils subissent une punition collective. Rien ne peut justifier l’utilisation de la famine comme arme de guerre .Les punitions collectives constituent un crime de guerre.
5) Création d’une zone tampon autour de Gaza normalement interdite par les lois internationales et constitue un crime de guerre selon l’ONU qui précise que « la destruction massive de bâtiments non justifiée par des impératifs militaires » constitue un crime de guerre.
6) Massacres de civils innocents :Même Blinker farouche allié d’Israël demande à Israël de prendre en compte et avant tout les civils. C’est dire.
7) Massacre dans les locaux de l’ONU (UNRWA ) plusieurs morts . Selon Lazzini c’est une violation flagrante des règles fondamentales de la guerre ». A signaler aussi la réaction très molle de responsables de l’ONU.
8) Selon R.Brauman (qui ente parenthèses est Juif et foncièrement antisioniste voire anti-israélien ,ce qui est structurellement impossible d’après un certain commentateur de ce site) l’Occident est complice de ces crimes car les livraisons d’armes se poursuivent et qu’ il y a un pont aérien ininterrompu vers Israël.
9) Plainte de l’Afrique du-sud qui argumente que tant les massacres de civils que les déclarations des responsables israéliens constituent des incitations manifestes à la commission de génocide et relèvent de ce fait de crimes de guerre.
10) Les enfants subissent un traumatisme lié aux bombardements. Coupures injustifiées d’électricité . Deux millions de personnes ont besoin d’une aide alimentaire. » 30 camions de nourriture bloqués à l’entrée de Gaza.
11) Intrusions armée et massacres dans les hôpitaux y compris de ceux de Cisjordanie .Bombardement d’hôpitaux .
Voici de manière plus précise les termes des conventions internationales concernant le droit de la guerre toutes acuellement baouées à Gaza:
• ne pas attaquer si les pertes civiles risquent d’être disproportionnée par rapport au gain militaire recherché,
• éviter si possible d’attaquer des objectifs militaires dans une zone densément peuplée ;
• évacuer autant que possible les civils proches des cibles avant une attaque.
Il est, par exemple, prohibé de recourir à des explosifs ayant un rayon de destruction trop étendu car les dommages sur les civils risqueraient de dépasser de loin les gains militaires. Des explosifs trop puissants ou à fragmentation, imprécis car incapables de distinguer les cibles combattantes des civils innocents, sont qualifiés par le droit comme des armes « de nature à causer des maux superflus ».
Lors d’une attaque dans un lieu densément peuplé, le droit de la guerre impose à l’attaquant d’avertir efficacement les civils. La notion d’efficacité dépend des circonstances, l’enjeu principal étant de donner un temps suffisant aux civils pour évacuer la zone, sans quoi un tel avertissement ne sera pas considéré comme conforme au droit.
Toutefois, le droit international dit que les civils qui n’évacueraient pas la zone menacée doivent être protégés, sans quoi les belligérants auraient de facto le droit de déplacer de force des populations entières et de menacer des populations qui n’ont aucun moyen de se défendre. Cette disposition doit permettre, en outre, d’offrir une protection aux civils qui ne peuvent se déplacer (santé précaire, handicap, etc.).
Crimes de guerre ; suite
MAMDIARRA DIAWARA
23/02/2024 - 12:33
Gaza:2000000 hab ,30000 morts recensés (pour l'instant, ss compter les enfouis sous les décombres). C'est comme si il y a avait eu 5560 tués en Mque, 990 000 en Fce. ,et 4800000 aux USA......Sans commentaire.
Crimes de guerre à Gaza : Ca continue.
MAMDIARRA DIAWARA
07/03/2024 - 09:05
Les Israëliens ont décidé de refuser les visas aux humanitaires étrangers en posteà Gaza.Carrément odieux.