Nos voisins de la Caraïbe indépendante, tant anglophone qu'hispanophone, respectent le résultat des élections et ne crient jamais à la fraude ou au truquage.
Ainsi, au soir des dernières élections présidentielles en République Dominicaine, Leonel Fernadez, chef de l'opposition et ancien président du pays, a passé un appel téléphonique au vainqueur, Luis Abinader, pour le féliciter, chose retransmise par toutes les télévisions du pays. Dans la Caraïbe anglophone, si les joutes électorales sont souvent très vives, une fois celles-ci terminées, tout le monde siège au parlement sans s'insulter ou mener la moindre guérilla parlementaire. C'est que chacun a bien conscience qu'il ou elle a un pays à construire et que ni les USA ni l'Angleterre ni l'Espagne ni la Communauté Européenne ne pourra faire ce travail à la place des Caribéens.
L'opposition est donc respectée dans ces différents pays. Nous allons vous présenter leurs leaders dans une série d'articles sans pour autant développer sur eux ou leur action. Pour en savoir davantage, il suffit d'aller sur la face positive de l'Internet (Google, Quant etc...) au lieu de passer son temps sur sa face abrutissante (Tik Tok, Instagram etc...).
Pour la Jamaïque c'est Mark J. Golding qui est le leader de l'opposition et du People's National Party, celui que dirigea autre fois le célèbre Michael Manley...
...de ne pas comprendre mais je répète et en créole cette foi : "Chien marré sé pou lapidé". Lire la suite
Avec de tels amis, Louis BOUTRIN n'a pas besoin d'" ennemis". Lire la suite
Ton stalinien octogénaire, largement responsable du NAUFRAGE du camp indépendantiste depuis des d Lire la suite
Louis BOUTRIN ne pense t-il pas qu'il y a plus important à faire dans cette Martinique errante Lire la suite
Ils seront foutu de nous chanter que le (R) est le fameux divin enfant
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