En 2004, le Ministère français de l'Economie, des Finances et de l'Industrie avait accordé à la compagnie américaine RSM Production Corporation un permis de recherches exclusif d'hydrocarbures au large de la presqu'île de la Caravelle, en Martinique. Celle-ci n'avait trouvé que des traces de pétrole mais par contre, un gisement de 30 milliards de mètres-cube de gaz naturel.
Ce gisement, situé à 200 kilomètres des côtes martiniquaises, se trouve dans la ZEE (Zone Economique Exclusive) de l'île et donc ne peut être exploité par aucun autre pays que la Martinique ou en tout cas par sa puissance de tutelle à savoir la France. A l'époque de cette découverte, le gaz naturel était abondant et bon marché au plan mondial et il n'avait pas été possible de réunir suffisamment d'investisseurs pour exploiter le gisement de la Caravelle.
Ce n'est plus le cas aujourd'hui !
Avec la guerre en Ukraine et la crise mondiale des énergies qui se profile à l'horizon (si jamais l'hiver prochain s'avérait rude, l'Europe de l'Ouest, par exemple, subirait des coupures d'électricité et de chauffage), les responsables martiniquais ne devraient-ils pas regarder d'un autre oeil les 30 milliards de M3 de gaz qui dorment au large de la Caravelle ? D'autant que depuis 2018, ce n'est pas l'Etat français qui délivre les autorisations d'exploration et d'exploitation minières mais les collectivités locales. En l'occurrence, s'agissant de la Martinique, la CTM (Collectivité Territoriale de Martinique).
Or, un Congrès est en préparation et cela ne figure pas dans son ordre du jour !
A l'inverse, l'île de Barbade qui n'a qu'un minuscule gisement gazier (140 millions de M3 de réserves) l'exploite depuis deux décennies déjà, ce qui lui permet de diminuer un peu sa facture énergétique. La Martinique, elle, dispose de 30 milliards de M3 de réserves et n'en a rien à fiche !
Manman-la-France est là et sera toujours là, n'est-ce pas ?
Il y a une quatrième raison plus puissante que les trois précédentes réunies. Lire la suite
A quand la continuité territoriale entre Grand-Rivière et Ste Anne ?
Lire la suiteMalgré la rage qui me ronge de voir mon île dévastée par des étrangers venus d'ailleurs qui sont Lire la suite
...cette précision, cela n'a rien à voir avec le fond de l'article. Me semble-t-il...
Lire la suite"National" au sens "national Mquais". Ça va sans dire, mais ça va mieux en le disant...
Lire la suite
Commentaires
Wéééé, on peut donc demander l'indépendance !!!!
Rose
21/09/2022 - 13:52
La Mque " dispose de 30 milliards de m3 de gaz"???!!!!! Je vx bien ,mais peut on avoir le fac-similé ou si vous préférez la photocopie du document scientifique / technique ou bien un lien Internet qui le prouve indiscutablement ,SVP ? Merci d'avance.
QUOTIDIEN "LIBERATION"
Albè
21/09/2022 - 17:30
Ce site avait reproduit un article à ce sujet publié par le quotidien français LIBERATION à l'époque :
https://fondaskreyol.org/article/du-gaz-dans-leau-au-large-de-martinique
Sinon faut être complètement crétin pour croire que la question de la souveraineté de la Martinique est juste une question d'estomac et d'intestins. C'est même insulter les Martiniquais dont les ancêtres ont travaillé gratuitement pendant près de 3 siècles au profit de la France, "patrie des droits de l'homme".
Pour Albè ,spécialement.
Rose
23/09/2022 - 23:33
Un article de journal n’est pas la preuve indiscutable de la véracité scientifique d’un fait .Si France-Antilles titre demain à la une que la terre est plate, sera-ce pour une autant la preuve irréfutable de la véracité du fait évoqué ?
Vous qui faites la leçon à tout bout de champ sur des détails sémantiques si importants à vos yeux (par exemple en établissant une différence fondamentale entre réussir premier à un concours difficile et sortir premier d’une grande école …Pffff !!!) et qui accusez en permanence les autres de « trop vite lire » ou de « déformer » vos propos ,vous devriez savoir que non !!l Le journal Libération peut raconter ce qu’il veut ,un seul reportage qui ne fait que reprendre le contenu d’un site ou vice-versa n’est pas une preuve que j’aurais souhaité -souvenez-vous- irréfutable .
Le « crétin » que vous m’accusez indirectement d’être …Ah oui je dois certainement « déformer » vos propos … ? est quand même suffisamment intelligent pour constater que vous faites un lien très maladroit et d’ailleurs complètement inutile entre l’indépendance et souci d’alimentation. Peut-être avez vous voulu signifier que certaines personnes parmi lesquelles vous me classez visiblement craignent pour leur future alimentation dans une Mque indépendante ? Vous avez vu ça dans mes propos ? Arrêtez donc de les ….comment vous dites ?….ah oui ..déformer. Et puis pour finir quel rapport entre l’esclavage et la présence de gaz au large de Trinité,
EXIGENCE ABUSIVE
Albè
24/09/2022 - 09:33
Je vous ai répondu vivement parce que j'en ai plus qu'assez de ces gens qui n'exigent rien des médias qu'ils payent pour pouvoir y accéder (achat de journal en kiosque, abonnement SFR ou Orange etc.) et qui sont exigeants envers les médias gratuits (pour lesquels ils ne déboursent pas un sou) comme le présent site-web. Vous n'avez strictement RIEN à exiger de ce dernier ni lui demander d'apporter la preuve de quoi que ce soit dans la mesure où ce site ne vous doit rien, ne nous doit rien, nous autres internautes qui y accédons gratuitement. Exigez des preuves de ceci ou de cela aux médias payants. Voilà !
DU GAZ DANS L’EAU OU DE L’EAU DANS LE GAZ?
Karl
05/10/2022 - 18:51
Depuis quelques temps, il est dit aux Martiniquais qu’ils vivent à proximité d’une mine d’or, un fabuleux gisement de gaz naturel, situé au large de la Caravelle, dans le périmètre de la zone économique exclusive. C’est en tout cas ce que Louis BOUTRIN a affirmé dans l’émission Politiquement (IN)correct, animée par Eddie MARAJO sur les antennes de Via ATV, le dimanche 2 octobre dernier.
Cette « information » présentée sur un ton qui n’admettait aucun scepticisme, a permis d’étayer l’argumentation du conseiller territorial concernant « l’autonomie » de la Martinique, telle que très subrepticement envisagée par les promoteurs du Congrès des Elus. On se demande d’ailleurs pourquoi se limiter à l’autonomie et ne pas exiger une consultation sur le droit des Martiniquais à la libre disposition, c’est-à-dire « le droit de se séparer de la métropole coloniale et de se constituer en Etat national ».
En effet, si la Martinique devient un Qatar tropical, pourquoi hésiter ?
Et pour aller dans le même sens que Louis BOUTRIN, des études du Bureau de Recherche Géologique et Minières (BRGM) ont révélé que, du côté de la Presqu’ile de la Caravelle, il y aurait des gîtes aurifères.
Mais cette information présentée comme incontestable par Louis BOUTRIN, en sa double qualité de conseiller territorial et de président de Martinique Ecologie est-elle fondée ? On serait naturellement porté à le croire.
C’est sans doute sur un article non signé, paru dans Fondas Kréyol le
21 septembre 2022 et intitulé : RÉSERVES DE GAZ NATUREL : BARBADE (140 MILLIONS DE M3), MARTINIQUE (30 MILLIARDS DE M3) que l’élu s’est basé.
Que disait cet article ?
En 2004, le Ministère français de l'Economie, des Finances et de l'Industrie avait accordé à la compagnie américaine RSM Production Corporation un permis de recherches exclusif d'hydrocarbures au large de la presqu'île de la Caravelle, en Martinique. Celle-ci n'avait trouvé que des traces de pétrole mais par contre, un gisement de 30 milliards de mètres-cube de gaz naturel.
Ce gisement, situé à 200 kilomètres des côtes martiniquaises, se trouve dans la ZEE (Zone Economique Exclusive) de l'île et donc ne peut être exploité par aucun autre pays que la Martinique ou en tout cas par sa puissance de tutelle à savoir la France. A l'époque de cette découverte, le gaz naturel était abondant et bon marché au plan mondial et il n'avait pas été possible de réunir suffisamment d'investisseurs pour exploiter le gisement de la Caravelle.
Ce n'est plus le cas aujourd'hui !
Avec la guerre en Ukraine et la crise mondiale des énergies qui se profile à l'horizon (si jamais l'hiver prochain s'avérait rude, l'Europe de l'Ouest, par exemple, subirait des coupures d'électricité et de chauffage), les responsables martiniquais ne devraient-ils pas regarder d'un autre œil les 30 milliards de M3 de gaz qui dorment au large de la Caravelle ? D'autant que depuis 2018, ce n'est pas l'Etat français qui délivre les autorisations d'exploration et d'exploitation minières mais les collectivités locales. En l'occurrence, s'agissant de la Martinique, la CTM (Collectivité Territoriale de Martinique).
Or, un Congrès est en préparation et cela ne figure pas dans son ordre du jour !
A l'inverse, l'île de Barbade qui n'a qu'un minuscule gisement gazier (140 millions de M3 de réserves) l'exploite depuis deux décennies déjà, ce qui lui permet de diminuer un peu sa facture énergétique. La Martinique, elle, dispose de 30 milliards de M3 de réserves et n'en a rien à fiche !
Manman-la-France est là et sera toujours là, n'est-ce pas ?
Cet article ne laisse pas de place au doute. Pire ou mieux, selon le cas, puisque ce gisement de 30 milliards de m3 de gaz est à portée de main et que c’est la CTM qui délivre les autorisations d’exploration et d’exploitation minière, pourquoi nos élus du GRAN SAMBLE POU BA PAYI-A AN CHANS auquel appartenait et appartient (?) toujours Louis BOUTRIN n’ont-ils pas saisi « cette chance » ?
Malheureusement, cet article dont on peut penser que l’auteur n’est ni géologue ni n’appartient à la compagnie américaine RSM Production Corporation, n’est pas sourcé. Pourtant, un tel gisement pourrait attirer la convoitise des majors comme Total Energie.
Il convient cependant de remettre les choses en place : En 2021, l’Union Européenne consommait 400 milliards de mètres cubes de gaz. Environ 45% des importations du gaz naturel proviennent de Russie , c’est-à-dire 155 milliards de mètres cubes. 30 milliards de mètres cubes correspondent donc à un mois de consommation. La France consomme
40 milliards de mètres cubes de gaz par an.
La source de la publication de Fondas Kréyol et donc des propos de Louis BOUTRIN réside dans un article paru dans le journal « Libération », publié par Anne BETRAND, le 31 mars 2006 (il y a donc 16 ans), intitulé : « Aux Antilles, un gisement d'hydrocarbures sous-marin pourrait être exploité ».
Que dit-il ?
[…] « L'Institut français du pétrole (IFP) avait […) mentionné, il y a plus de vingt ans, que les bassins sédimentaires existant au large de ces îles étaient suffisamment anciens et épais pour contenir des hydrocarbures. Mais ces zones ont le désagréable défaut d'être situées à plus de 1 000 mètres de profondeur. Une raison suffisante à l'époque pour que les sociétés pétrolières s'en détournent pour aller prospecter dans des régions techniquement plus abordables et financièrement plus rentables...
Mais aujourd'hui, les techniques d'exploration et de forage ont bien évolué et une société américaine, RSM Production Corporation (filiale de Grynberg Petroleum), a décidé de se mettre en quête d'or noir antillais. Le 5 août 2004, un permis exclusif de recherches d'hydrocarbures, dit « permis de Caravelle », a été accordé à la société par arrêté du ministère de l'Economie, des Finances et de l'Industrie. La demande avait été effectuée en 2001. Ce permis couvre une superficie de 24 000 km2, empiétant à la fois sur l'océan Atlantique et sur la mer des Caraïbes.
La société américaine « envisage » la découverte de gaz naturel plutôt que de pétrole, mais, selon elle, «il peut y avoir des surprises. Pour un gisement de ce type, ajoute-t-elle, une taille significative « se situerait » autour de 30 milliards de m3 de gaz de réserve.
Une première campagne sismique (sorte d'échographie du sous-sol) devrait se dérouler avant la fin de l'année, sur une vingtaine de jours. Elle ne comporterait, selon RSM, «aucun risque écologique» pour la Martinique, après étude d'impact, notamment sur les mammifères marins, tels les dauphins. […]
RSM n'a pas cantonné ses intentions à la Martinique. Une demande similaire a été déposée en Guadeloupe en 2001 et devrait aboutir après quelques retards administratifs. Enfin, pour être sûre d'investir complètement l'éventuelle zone pétrolifère, RSM a déjà entamé des campagnes sismiques à Sainte-Lucie, Grenade, Saint-Vincent et les Grenadines, des îles situées au sud de la Martinique, où elle envisage « les premiers forages d'exploration en 2007» [...]
Outre que le titre de l’article de « Libé » emploie le conditionnel, le moins que l’on puisse dire est qu’il n’affirme aucune certitude : « une taille significative « se situerait » autour de 30 milliards de m3 de gaz » signifie-t-il qu’ils ont été repérés et sont prêt à être exploités, sans même évoquer leur commercialisation ?
Mais cela n’empêche pas l’auteur du billet paru dans Fondas Kréyol d’affirmer, tout aussi péremptoirement que « […] un Congrès est en préparation et cela ne figure pas dans son ordre du jour !!!
Qu’il soit possible qu’il y ait dans le sous-sol de plateau continentale des ressources naturelles ne serait pas étonnant ainsi que l’a indiqué l’Institut Français du Pétrole. Outre le repérage par campagne sismique, des forages sont indispensables afin de déterminer l’importance et la nature du gisement.
De la à transformer une probabilité et certitude, n’est-ce pas aller vite en besogne ?
Merci Karl !!!!
Rose
05/10/2022 - 19:02
Merci pour cette excellente mise au point qui répond très précisément à mon premier questionnement consécutif à l'article de base.
TOUJOURS SOURCER LES INFORMATIONS EST UN EXIGENCE!!!
Karl
05/10/2022 - 19:51
Quand on diffuse une information, soit qu'on la reprenne à son compte, soit que l'on s'en sert pour la critiquer, dire où elle a été obtenue est un exigence d'honneté intellectuelle. Le fait que le média soit ou non gratuit ne change rien à l'affaire.
Si cela n'est pas respecté, comme par exemple sur Facebook, d'une part on peut aisément tromper le lecteur et on n'incite pas à la réflexion. C'est pourquoi j'évite ou j'essaye d'éviter de proposer une conclusion à mes papiers, préférant de loin laisser le lecteur analyser les éléments que je lui fournis et tirer lui même ses propres conclusions. Qu'il rejoigne ou non mon point de vue est secondaire, du moment qu'il réfléchit.
Je me méfie comme de la peste des gourous et du prêt-à-penser, souvent proposé dans notre pays. Le pret-à-penser et les dogmes concernent les religions et les religions sont liées à la foi! C'est pourquoi je les respecte toutes sans forcément les partager et suis plus que circonspect quand on se moque d'elles car c'est se moquer de ceux qui y croient. Ce qui ne m'empeche nullement de dialoguer avec des croyants, au contraire. Eux comme moi voulons le bonheur de l'Humanité, même si nous n'empruntons pas exactement les mêmes chemins.
Pas question pour moi d'entrer dans la diatribe violente...
Frédéric C.
05/12/2023 - 15:53
...lancée par "Rose" et un peu Karl contre le rédacteur de l'article. La violence en la forme flanque par terre (ou en l'air) toute possibilité de débat serein sur des questions sérieuses. Cette sérénité des discussions manque beaucoup en Mque : c'est peut-être une des raisons (pas la seule) de notre sur-place politique depuis des décennies.. Ceci posé, SUR LE FOND, il serait utile que nous ayons une source SCIENTIFIQUE de cette éventuelle réserve de gaz au large de la Martinique. Vu l'état de la Mque, ON NE PEUT PAS SE CONTENTER D'HYPOTHÈSES, ou d'affirmations d'entreprise style "Condom y Nie-Homme", affirmations assurées par la Cie "lasirans mwen sé po Diab". Pour avancer et envisager une planification (incitative), il nous faut avoir un état des lieux des ressources économiques : la mer, terres cultivables (donc non chlordéconées), ressources en matière d'énergies, possibilités touristiques en direction de l'extérieur (sans tabler exclusivement dessus, car on dépendrait ENCORE des marchés extérieurs, susceptibles de se fermer en cas de crise politique et militaire mondiale : depuis 2022-2023 ce n'est plus exclus), etc... Nous devons, dans la mesure du possible, nous appuyer sur du solide. Pas sûr que ce "solide" puisse venir d'UN ou DEUX articles d'une presse dont nous voyons, depuis février 2022 et encore plus depuis octobre 2023, qu'ils n'hésitent pas à publier des articles tendancieux, voire mensongers, penchant toujours du même côté (je ne développe pas)... Donc un seul article de Libération, du Figaro , du Parisien, de L'Express, l'Obs ou (mes doutes ne sont pas sectaires) L'humanité ou L'Anticapitaliste n'est ABSOLUMENT PAS UNE PREUVE EN SOI qu'il y a du gaz dans la ZEE de la Mque (sub-Etat de la France). Et si l'on obtient des preuves SCIENTIFIQUES, SOURCÉES, gardons nous de caricaturer en disant que l'interlocuteur voudrait faire de la Mque un Qatar-bis... Précision : je ne m'attaque pas personnellement au rédacteur de l'article ci-dessus, on débat d'idées, de situations... Je fais aussi un virement mensuel pour FK, organe auquel je tiens. Alors SVP, prenons sur nous pour rester courtois, ne pas vitupérer, ne pas attaquer trop fort même si parfois l'envie est forte. Cela ternit l'image de Fondas Kréyòl.
AFFABULATEURS ?
Albè
05/12/2023 - 18:52
Si je comprends bien les propos des uns et des autres, la Compagnie américaine qui déclara, en 2004, avoir trouvé un gisement de gaz au large de La Caravelle était composée d'affabulateurs ou alors d'imbéciles. Pourtant à l'époque FRANCE-ANTILLES avait relayée l'information sur une page entière, les radios et télés locales en avaient parlé et à ce jour, personne n'a démenti les Américains. A part les commentateurs de ce site qui comme chacun le sait maintenant, sont d'éminents sociologues, géologues, historiens, juristes, psychologues, économistes etc...Au fait, Frédéric, moi aussi, j'y vais de ma poche chaque mois pour permettre la survie de FONDAS. Certains commentateurs devraient en prendre de la graine.
Les juristes, les psychologues et les autres...
AMINATA DIALLO
06/12/2023 - 09:26
On compte aussi d'excellents généalogistes aptes à identifier les généalogies frelatées.
QUEL RAPPORT AVEC...
Albè
06/12/2023 - 09:40
...le sujet en question ???! Sinon, aux Antilles, il n'y a aucune généalogie frelatée : les Békés sont les descendants des esclavagistes, les Mulâtres et autres Chabins, le fruit de la fornication forcée des hommes békés avec les Négresses esclaves et les Nègres, les descendants des Africains réduits en esclavage. Sinon, les Indiens et Chinois sont la résultante de cet esclavage "soft" que fut l'engagisme. RIEN QUE DE TRES CLAIR DONC ! Y voir du "frelaté revient à faire preuve de pure malhonnêteté intellectuelle.