« Ce groupe est essentiel pour travailler à la solidarité avec le peuple palestinien et promouvoir une paix juste », a salué la députée communiste Elsa Faucillon. Auparavant, la question palestinienne était reléguée à un groupe d’études à vocation internationale (Gevi). « On ne peut pas avancer de façon commune si l’on a une dissymétrie dans notre Assemblée » avec le groupe France Israël, a justifié l’ancien président du Gevi, le député Modem Richard Ramos, partisan de ce changement.
Une évolution à laquelle n’adhère pas Gabriel Attal, qui avait rédigé un courrier à la présidente de l’Assemblée rappelant que la Palestine n’est pas reconnue par la France, et que son Parlement ne s’est « pas réuni pendant onze années ». Il semble moins disert sur le sort des douze députés palestiniens, dont Marwan Barghouti, qui se trouvent dans les geôles israéliennes, une situation unique au monde.
Un groupe d’amitié avec la Palestine créé à l’Assemblée nationale
...que de rédiger des commentaires non seulement à la con, non seulement blanco-suprématistes mai Lire la suite
Et aussi bête qu'an-alpha (méconnaissance des rexte et de la connaissance..) sans parle d'anal... Lire la suite
...sous un autre pseudonyme pour tenter de diffuser ses âneries nauséabondes visant à dédouaner l Lire la suite
Comment interpréter cette phrase? Elle me met mal à l'aise .
Lire la suiteLes USA n’ont jamais colonisé ni la Colombie ni le Mexique ni le Vénézuéla ,or estime aujourd' Lire la suite