Mayotte, petite île de l’océan Indien, symbolise à elle seule la collision brutale entre histoire coloniale, fractures sociales et désastres environnementaux. Département français depuis 2011, elle est un territoire en crise, où la misère humaine et les catastrophes naturelles s’entrelacent dans une spirale infernale. Les événements récents – séismes, tornades, montée des eaux – ne sont que la face visible d’un effondrement plus global.
Dans le but d'apaiser la crise sociale qui secoue la Martinique depuis trois mois, il se dit, à mots couverts, que "la Métropole" est prête à lâcher du lest face à celles et ceux qui exigent de vivre, alimentairement en tout cas, exactement comme elle.
Imposible pour nous de vérifier la source de cette information plusieurs fois répétée ces jours-ci sur les réseaux sociaux dans l'île aux pluies incessantes (ex-île aux fleurs). Cette injonction plutôt, puisque c'est devenu apparemment le mode de communication normal au sein de ladite île depuis quelques mois, la voici :
"Boycottez les magasins du Béké Hayot et faites vos courses de Noël et de fin d'année dans les établissemennts Leclerc !"
En Haïti, le rituel apparemment erratique et déstructuré des tentatives de « réforme » constitutionnelle est devenu un sport à géométrie variable, une sorte de gaguère de haute fréquence où les paris sont lucratifs si l’on est du bon côté de l’Histoire… Ce festif rituel est financièrement rentable pour les politiciens de tout acabit comme pour les preux chevaliers, « experts » constitutionnalistes autoproclamés qui se bousculent d’une saison constitutionnelle à l’autre.
Au lendemain matin de l'élection de Donald Trump, une universitaire du Campus de Schoelcher déclarait sur une radio très écoutée, cela avec des trémolos dans la voix :
Dans le cadre des qualifications pour le Mondial 2026, la Norvège figure dans le même groupe qu'Israël. La présidente de la fédération norvégienne ne souhaite pas voir son équipe jouer contre la formation israélienne pour des raisons politiques.
De la saillie xénophobe à la menace de mort, le groupe privé «* Rassemblement national * (direction 2027 !) » symbolise la violence et le racisme inhérents à l’extrême droite. Accessible sur Facebook après avoir répondu à plusieurs questions et reçu une validation des administrateurs, ce groupe a été épinglé par le média en ligne les Jours, dans une enquête publiée mercredi 18 décembre. En cause : la participation, plus ou moins active, de quinze députés du parti présidé par Jordan Bardella et mené par Marine le Pen.