Une centaine de Nègs au chômage, Zéro Béké !

   Les réseaux sociaux étant devenus l'alpha et l'omega de la société martiniquaise, pourquoi s'embêter à rédiger des articles un tant soit peu approfondis ? Il suffit de piocher sur ces réseaux pour dénicher des pépites. C'est la deuxième fois que nous en publions un sur notre site. La première fois c'était le 09 octobre dernier et ça s'appelait "Puisque ce sont les réseaux sociaux qui mènent la danse".

   Celui-ci est signé par un certain Germain S. et nous a paru intéressant par endroits... 

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   Nos politiques et syndicalistes martiniquais ont démontré, une fois de plus, leur lâcheté quasi-congénitale.

   Aucun qui ose ouvrir la bouche et dénoncer les destructions d'entreprises qui soit emploient des Nègs (sociétés de location automobile, commerces d'alimentation, téléphonie etc...) soit appartiennent  des Negs. Résultat après des nuits et des nuits d'émeutes : près de 200 employés negs sont d'ores et déjà au chômage et une douzaine de petits patrons nègs ruinés ! Face à cela : 0 Béké impacté vraiment car ils sont tous assurés et seront remboursés pour leurs pertes. ZERO BEKE ! 

   On a envie de rire quand on entend un syndicaliste quasi-octogénaire déclarer ce qui suit :   

"Il y a toute une série de choses qui ne correspondent pas aux méthodes du mouvement ouvrier. Il faudrait mettre l'accent sur le contrôle des entreprises pour réclamer plus de transparence, au lieu de s'en prendre aux entreprises."

   "Pas les méthodes de la classe ouvrière" ? Mon cul, oui ! Si t'avais des graines, t'aurais parlé de '"méthodes de délinquants, de voyous, de trafiquants de drogue" et tu les aurais frontalement dénoncées. Ce sont elles qui ont mis, suite aux incendies et aux pillages, près de deux-cents employés negs à la rue, des pères et des mères de famille qui n'ont que leurs yeux pour pleurer alors que des délinquants venus du 9-3 roulent en Audi G7 et que des dealers de drogues règnent sur Sainte-Thérèse, Volga-Plage, Dillon etc...

   Mais tout comme les syndicalistes, les politiques, la queue entre les jambes se taisent ou pleurnichent comme des toutous apeurés tels les maires du François et du Carbet. Eux non plus se gardent bien de dénoncer la voyoucratie négropo qui est en train de s'installer dans notre pays et se couchent devant les injonctions répétéees de cette racaille exogène qui surfe sur les réelles souffrances des 27% de Martiniquais qui vivent sous le seuil de pauvreté. Syndicalistes et politiques sont des lâches ! Il n'y a pas d'autres mots. Et quand aux indépendantistes élus comme non-élus, qui attisent le feu anbafey dans l'espoir que ces émeutes aboutiront au Grand Soir dont ils rêvent, ils sont objectivement parlant les complices des trafiquants de drogue et autre Barbecue en herbe des quartiers chauds de Fort-de-France. 

   Car quand ce mouvement sera terminé, il faudra bien faire les comptes !

   Faire les comptes des entreprises, commerces, pharmacies etc... pillés et des centaines d'employés martiniquais à la rue. Trop facile (on vous voit venir !) de dénoncer "l'Etat colonial, la Vie chère, les exploiteurs békés etc... Trop facile ! Il faudra que ces chômeurs se réunissent au sein d'une association et montent à la CTM pour demander des comptes aux élus. En effet, si s'attaquer à un supermarché béké peut se comprendre, incendier une pharmacie appartenant à un Neg comme cela s'est passé au Carbet, piller un centre de réparation de pneus ou un petit magasin de téléphonie appartenant à des Negs est tout simplement inadmissible. Cela relève du gangstérisme pur et simple que personne, même pas l'Etat français, n'ose dénoncer. Ce qui est pour le moins bizarre ! C'est à se demander si la chienlit ambiante ne l'arrange pas puisqu'elle détourne les Martiniquais du vrai combat (celui de l'accession à une forme de souveraineté quelle qu'elle soit) au profit de gesticulations à propos du prix de la boite de petits pois. En fait, oui, baisser les prix et approcher ceux pratiqués en "Métropole" ne peut que renforcer l'attachement des Martiniquais à cette même "Métropole". C'est tout bénef" pour cette dernière ! 

   En attendant, les Martiniquais qui ont les pieds sur terre peuvent-ils continuer à être terrorisés, empêchés de circuler, attaqués dans leurs entreprises etc... par des délinquants que ni les politiques ni les syndicalistes ne dénoncent et que ni l'Etat français ne réprime sérieusement ? Car, arrêtons de nous la jouer ! Il y a eu 0 mort dont la responsabilité incombe à la police, à la gendarmerie ou aux CRS en plus d'un mois de barrages routiers et d'émeutes. Donc pour ce qui est de la "répression coloniale", on peut repasser ! Ah oui, il y a tout de même eu un mort, à Trinité, dans une zone commerciale mais nos combattants contre la vie chère n'ont pas eu le toupet de la mettre sur le dos des forces de l'ordre. Il s'est agi, en effet, d'un règlement de compte nocturne entre pillards. 

   Si jamais la chienlit perdure, les Martiniquais devront cesser de faire confiance à des politiques et syndicalistes trouillards et à un Etat français je-m'en-foutiste. Ils devront désormais prendre toutes les dispositions qui s'imposent pour riposter aux attaques des délinquants. Z'affè tchou mèle ki prend plomb !