Le PKLS et le cercle Frantz FANON vous invitent à L’HOMMAGE À MARCEL MANVILLE
Le 2 Décembre 1998 Marcel MANVILLE s’effondrait, terrassé par une crise cardiaque en plein Palais de Justice de Paris. Ce jour, il s’apprêtait à défendre les algériens victimes de la répression du pouvoir colonial français.
Il décédait en conformité avec sa vision de sa vie, une vie de combat jusqu’au dernier souffle.
Engagé dès sa jeunesse dans la lutte contre le fascisme qui inondait l’Europe, il fut un soldat de la paix. Patriote déterminé, il était imprégné de la cause de notre peuple et agissait en véritable sentinelle de ses intérêts. Internationaliste, il apportait sa solidarité indéfectible aux peuples à travers le monde. Révolutionnaire convaincu, il défendait avec ténacité toutes les victimes de la répression coloniale. Militant communiste inlassable, il agissait en véritable gardien des intérêts et des droits des travailleurs contre les capitalistes.
Ce combattant infatigable de la cause des « damnés de la terre » comme son frère de combat Frantz FANON, pourchassait l’injustice, pour laquelle il avait une forte répugnance, jusqu’au plus profond de la société.
Son opiniâtreté a permis de restituer FANON à son peuple avec des initiatives comme la création du Cercle Frantz Fanon.
Sa verticalité l‘a conduit à être membre fondateur du Pati Kominis pou Lendépandans ek Sosyalizm (PKLS) en 1984.
Cette année 2022 marque le centenaire de sa naissance, n’ayant pas pu le célébrer à l’anniversaire de sa naissance, nous lui rendons hommage le
3 Décembre 2022 à partir de 15h
Villa Rosette
Bois carré Lamentin
Nous vous invitons à participer à cet hommage.
Vous avez la possibilité de nous faire parvenir un message.
Salutations patriotes
Entièrement d'accord ave cet article ! Lire la suite
...ni an moune ki ka serré dèyè plisiè pseudonymes adan ribrik "COMMENTAIRES"-tala ! Lire la suite
... Lire la suite
Sèl bagaille ka compté ba Nègues Matinik sé boudins yo. Dépi, i plein, yo sanfouté-pamal !
Lire la suite... majorité-a ka di "Mwen pa ni pèsonn pa la, sa pa zafè mwen". Lire la suite