Sache, ô monde entier qui nous lit grâce au dieu Internet !, que le titre de cet article est le refrain préféré du peuple, enfin plus exactement de la population qui peuple un pays, enfin plus exactement un territoire pas plus gros qu'une tête d'épingle mais qui comiquement se prend pour le centre du monde.
Même Trump, qui cherche sans arrêt de nouvelles terres à coloniser, ne connait pas son nom. C'est dire !
Donc, ledit refrain est ressassé, répété, asséné, décrété par la population du territoire en question, y compris par des gens qui n'y sont même pas nés (lesquels, soit-dit en passant se croient plus intelligents que les autochtones). Rien d'anormal à ce refrain, vous direz-vous, cher lecteur de Ouagadougou, de Montréal, de Tunis et de Trifouillis-les-Oies. Toute population a le droit d'être chez elle sur son propre territoire.
Tout-à-faitement ! comme on dit dans le dialecte (en voie de banlieusardisation) du territoire en question.
Saif qu'il y a comme un hic dans tout ça. Pas un hic ! hic ! comme gargouillent ces tatiateurs qui ont trop abusé du rhum GBH (enfin, Clément plutôt), mais celui de nos bonnes vieilles leçons de latin du siècle dernier : hic et nunc autrement dit "ici et maintenant".
Le hic c'est, comme on peut le constater sur ces photos, que plus personne ne sait pas ou ne semble savoir où est l'ici. Dès lors, nul ne sait plus où se trouve Là-bas.
Bref un vrai manjé-kochon psychique !
Di ki dwa ou ka pèmet kò'w kontesté non an lang yo ka kriyé KREYOL dépi 4 siek ? Lire la suite
Bèl pasaj.
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...de celles et ceux qui sauvent l’honneur de l’Occident, qui ne le mérite pourtant pas. Lire la suite
...déporté, puis esclavagisé nos ancêtres pendant 3 siècles, elle nous versera des réparations QU Lire la suite
Mon titre est à double sens : 1) Il concerne le contenu du commentaire précédent QUI N'A STRICTE Lire la suite