Son prédécesseur, Rishi Sunak, d'origine indienne comme son nom l'indique, avait déjà pris des mesures contre l'arrivée d'étrangers sur le sol britannique en signant un accord avec le Rwanda, contre espèces sonnantes et trébuchantes, pour y déporter des milliers de migrants dans ce minuscule pays d'Afrique centrale.
Après la défaite électorale, c'est cette dame, Kemi Badenoch, dont les parents sont originaires du Nigéria, qui vient d'être élue pour prendre sa place à la tête du parti conservateur. Badenoch est encore plus à droite et plus anti-immigrés que Sunak selon les médias britanniques. Cela est-il scandaleux de la part d'une Kémite ou d'une Afro comme on désigne désormais les Noirs sur les réseaux sociaux ? Aucunement ! Parce que ces qualificatifs d'Afro ou de Kémite sont du bidon. Ceux qui l'utilisent ou s'en réclament, comme on peut le voir en Martinique en ce moment, ne veulent qu'une chose : devenir Blancs à la place du Blanc.
La photo qui illustre cet article le démontre sans discussion possible : Sunak l'Indien et Badenoch, la Nigériane, discutant de la protection de leur l'Angleterre chérie contre l'arrivée des... migrants.
https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/royaume-uni-la-tr%C3%A8s-%C3%…
Kemi Badenoch est devenue ce samedi 2 novembre la nouvelle cheffe du parti conservateur britannique, désormais dans l’opposition au Royaume-Uni, après un vote de ses militants qui ont choisi cette quadragénaire défenseure d’un retour au « vrai conservatisme » et d’une politique stricte en matière d’immigration.
Après trois mois de campagne, cette farouche « anti-woke » qui était considérée comme la favorite du scrutin a été élue avec près de 57 % des suffrages, face à Robert Jenrick, lui aussi positionné à la droite du parti. Elle devient ainsi la première femme noire à diriger un des principaux partis politiques du Royaume-Uni.
L’élection avait été convoquée après l’annonce de la démission de l’ancien Premier ministre Rishi Sunak, dans la foulée de la défaite électorale historique des conservateurs aux dernières législatives du 4 juillet.
« Le temps est venu de dire la vérité, de défendre nos principes, de planifier notre avenir, de repenser notre politique et notre façon de penser et de donner à notre parti et à notre pays le nouveau départ qu’ils méritent », a déclaré Kemi Badenoch juste après l’annonce de sa victoire.
Cette ingénieure de formation de 44 ans qui avait déjà tenté, sans succès, de prendre la tête du parti conservateur en 2022 va désormais avoir fort à faire pour relancer des Tories largement affaiblis après leur débâcle électorale historique aux dernières législatives. Avec 121 élus, le parti a perdu les deux tiers de ses députés à la chambre des Communes.
Les électeurs l’ont sanctionné après 14 années au pouvoir, marquées par le Brexit, donc beaucoup estiment qu’il n’a pas été le succès promis, une politique d’austérité qui a paupérisé les services publics et les scandales de l’ère de l’ancien Premier ministre Boris Johnson.
Mais nombreux sont ceux qui s’interrogent sur la capacité de Kemi Badenoch à unifier et à reconstruire un parti très divisé et sur la pertinence du virage à droite qu’elle semble vouloir lui faire prendre.
...vous vous bouchez les yeux quand il s'agit d'identifier les VRAIS responsables de la situation Lire la suite
Les propos de Crusol sont gravissimes .C'est néanmoins une analyse originale qui mérite qu'on s'y Lire la suite
Rien de plus facile que de modifier la constitution. Lire la suite
En droit français actuel PERSONNE ,même pas Macron ne peut "octroyer" l'indépendance à un territo Lire la suite
C'est ce que l"Angleterre a fait dans la Caraïbe anglophone et personne ne la déteste à Grenade, Lire la suite