« Ce groupe est essentiel pour travailler à la solidarité avec le peuple palestinien et promouvoir une paix juste », a salué la députée communiste Elsa Faucillon. Auparavant, la question palestinienne était reléguée à un groupe d’études à vocation internationale (Gevi). « On ne peut pas avancer de façon commune si l’on a une dissymétrie dans notre Assemblée » avec le groupe France Israël, a justifié l’ancien président du Gevi, le député Modem Richard Ramos, partisan de ce changement.
Une évolution à laquelle n’adhère pas Gabriel Attal, qui avait rédigé un courrier à la présidente de l’Assemblée rappelant que la Palestine n’est pas reconnue par la France, et que son Parlement ne s’est « pas réuni pendant onze années ». Il semble moins disert sur le sort des douze députés palestiniens, dont Marwan Barghouti, qui se trouvent dans les geôles israéliennes, une situation unique au monde.
Un groupe d’amitié avec la Palestine créé à l’Assemblée nationale
Le discours officiel algérien nie l’existence de tout comportement raciste, et la justice n’a jam Lire la suite
Et un connard qui sévit sous divers pseudos dans la rubrique " Commentaires" ce site voudrait que Lire la suite
Inutile d'essayer de protéger celui qui fut maire de cette commune de 2008 à 2023 et qui est actu Lire la suite
Les raisons sont multiples et bien évidemment ne peuvent pas être imputées a une seule cause (ou Lire la suite
Donc au sortir de la 2è Guerre Mondiale, après avoir été pressurés par le régime de l'Amiral Robe Lire la suite