Incapables de recycler nos déchets...recyclables

   CREDIT MARTINIQUAIS, SODEM, CEREGMIA, X-PAY, BOODOOM, CARENANTILLES, LA COLAS, SMTVD, SDIREP etc...etc... Comme l'affirme un dicton en égyptien ancien : Neg pa ni mémwè. Ce qui en idiome du 21è siècle peut se traduire par : Circulez, y'a rien à voir ! Ou plus exactement : Fucking bastards !...

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Traitement des déchets plastiques : pas si transparent...

Sidrep, la seule usine de traitement des bouteilles plastique de la Caraïbe, a été liquidée le 26 novembre. Un échec dramatique qui pose, aujourd'hui, à la fois des questions sur la gestion passée mais aussi sur le futur de la filière, à la Martinique, et la responsabilité de l'ensemble des acteurs. Notre Dossier.

Jusqu'à il y a quelques semaines encore, deux entreprises symbolisaient la réussite de l'économie circulaire à la Martinique : Martinique Recyclage (traitement complet du verre) et Sidrep (traitement des bouteilles plastique). Il n'en reste plus qu'une. Le 26 novembre dernier, à la surprise générale, le tribunal mixte de commerce de Fort-de-France a prononcé la liquidation de l'unité de la Société Industrielle de Recyclage et de Production (FA du 29 novembre).

Petite sœur de MPM (Matières Plastiques Martiniquaises), une entreprise implantée depuis 20 ans en Martinique qui fabrique chaque année près de 100 millions de bouteilles plastique, Sidrep avait été lancée fin 2014, sur la base d'investissements privés (5 millions d'euros), avec l'aide de la Région Martinique et de fonds européens (6 millions d'euros).

L'idée était simple : au lieu de continuer à créer des bouteilles en PET (polyéthylène téréphtalate) à partir de granulés importés, il s'agissait de recycler les contenants plastiques. Les bouteilles vides (plastique clair uniquement) récupérées en Martinique, en Guadeloupe et en Guyane, devaient ainsi être transformées localement en granulés. Mais la seule entreprise de traitement plastique de la Caraïbe n'a jamais atteint son rythme de croisière. Au lieu des 4000 tonnes, pour être rentable, elle est passée de 800 à 1200 tonnes en 5 ans. Largement insuffisant.

Christian Torres, son dirigeant, n'a cessé d'alerter les autorités ces dernières années. Il pointe la faute de l'éco-organisme Citéo (lire ci-contre), en charge d'organiser la collecte sur le territoire. « Ils prennent 1,5 million d'euros aux industriels chaque année mais nous n'avons jamais vu les retombées. Qu'on ne dise pas que c'est la faute aux Martiniquais. On le voit bien : les bouteilles s'entassent dans les bacs jaunes. Si on ne dit pas de ramasser aux EPCI (Établissements publics de coopération intercommunale), les bacs se remplissent et les gens vont jeter ailleurs ».

Une enquête ouverte

Franck Robine, le préfet, s'est beaucoup investi pour éviter la catastrophe annoncée. « Le commissaire à la vie des entreprises a porté ce dossier pendant quasiment deux ans, à la fois pour la recherche de marchés à l'étranger, à Sainte-Lucie en particulier, mais aussi pour convaincre que le management devait peut-être un peu évoluer ». Pas convaincu, le tribunal a refusé tout renvoi, fin novembre et sonné le glas de Sidrep.

Deux offres de reprise étaient pourtant sur la table : une portée par le Grand Port Maritime et le groupe Seen (le premier, intéressé par le terrain de la Pointe des Grives s'étant finalement désisté) et une autre portée par Tri-Center. Mais les parties au dossier déplorent le manque d'information durant la procédure.

Initialement, un audit devait être réalisé par la CCIM, la CTM et la Dieccte. Pour des raisons de possible conflit d'intérêt (Ndlr : Philippe Jock, président de la CCI étant aussi l'expert-comptable de la Sidrep), c'est finalement la CTM, l'Ademe et Citéo qui ont financé cet audit, porté par l'Association Martiniquaise de Promotion de l'Industrie. 

Sollicité de longue date, cet état des lieux difficile à réaliser n'a été communiqué que la veille de l'audience, avec quelques éléments assez déconcertants et des dysfonctionnements sérieux dans le management de Sidrep. En réalité, l'usine qui disposait de deux lignes de production (granulés et paillettes) ne fonctionnait, depuis très longtemps, qu'avec la seconde. Elle ne disposait pas de personnel de maintenance dédié et formé, ni d'une organisation optimum pour pouvoir fonctionner, ce qui aurait accentué les pannes sur la machine. Sidrep avait perdu le marché du process Coca-Cola et ne pouvait plus être approvisionnée par MPM.

En marge, l'audit a également mis en évidence des irrégularités dans les comptes de la société. Saisi par un article 40, le procureur de la République a immédiatement ouvert une enquête sur les conditions dans lesquelles est intervenue la liquidation de l'entreprise. La semaine dernière, le Service Régional de Police Judiciaire (SRPJ) a ainsi mené des perquisitions au sein de Sidrep et saisi des ordinateurs.

Un autre volet du dossier du traitement des déchets plastique qui n'explique pas, à lui seul, le problème de fond : celui de l'efficience de la collecte dans l'île (lire ci-dessous).

L'usine Sidrep était le symbole d'une économie vertueuse, en permettant de recycler localement des bouteilles plastiques, créées en Martinique, par MPM, « sa grande soeur ».

L'usine Sidrep était le symbole d'une économie vertueuse, en permettant de recycler localement des bouteilles plastiques, créées en Martinique, par MPM, « sa grande soeur ». • Rodolphe Lamy

Les acteurs doivent réfléchir à la façon d'augmenter le geste de tri et l'efficience de la collecte.

Les acteurs doivent réfléchir à la façon d'augmenter le geste de tri et l'efficience de la collecte. • Rodolphe Lamy

Les acteurs doivent réfléchir à la façon d'augmenter le geste de tri et l'efficience de la collecte.

Les acteurs doivent réfléchir à la façon d'augmenter le geste de tri et l'efficience de la collecte. • Rodolphe Lamy

 

« Une chaîne de responsabilités partagées »

Stéphane Murigneux, président de l'ITE-DOM (Institut de Transition Ecologique des Outre-mer), refuse de pointer l'unique responsabilité du dirigeant dans cet échec. « Il a peut-être une part de responsabilité mais la chaîne de responsabilités est beaucoup plus grande. Le vrai problème, c'est que le tri est bloqué parce que la collecte n'est pas efficiente ». Bacs jaunes pas suffisamment ramassés, trop petits, véhicules pas toujours adaptés à la topographie des lieux... « Comment encourager les jeunes et moins jeunes à trier les bouteilles PET si, quand ils descendent chez eux, ils voient que le bac déborde... ? »

Selon lui, soit le ramassage, tel que défini par le cahier des charges entre la Cacem, l'Epace Sud, Cap Nord et les prestataires, est insuffisant, soit il est mal réalisé par les sociétés privées de collecte. « Ce qui m'intéresse, ce n'est pas Sidrep mais bien l'avenir de la filière du traitement de PET », ajoute-t-il. « Les solutions techniques des collects, nous les avons. Les marchés passés ne sont plus adaptés à la consommation des ménages ou la volonté de trier des consommateurs. Si les EPCI traînent cette compétence comme un boulet, qu'ils s'en débarrassent », lâche-t-il, sans vouloir perdre espoir, au vu de ses derniers échanges, en Martinique, avec les divers acteurs.. « J'ai rencontré des industriels déterminés, volontaires et responsables. Ils n'ont pas intérêt à rester les bras ballants devant ce qui pourrait être le scandale de demain ».
Qualifiant la situation de « véritable gâchis », Josiane Capron, présidente de l'AMPI, veut, elle aussi, se tourner vers l'avenir : « comptables de cette responsabilité collective qui nous pèse et nous incombe, nous nous devons de réfléchir ensemble désormais sur la stratégie de recyclage de déchets plastiques à mener sur notre territoire, en espérant cette fois être entendus par les EPCI : la CAEM, Cap Nord et Espace Sud, qui ont, rappelons-le, la compétence « collecte et traitement des déchets et assimilés ». »

Briques alimentaires : l'urgence d'une solution !

Jusqu'à la liquidation de Sidrep, seuls les plastiques PET (clair) étaient censés être recyclés. Les plastiques foncés sont envoyés vers l'Europe et les plastiques opaques ne sont pas triés.

Concernant les briques alimentaires (lait, jus...), aucune solution n'existe localement. Depuis des années, elles sont donc... enfouies sous terre ou simplement incinérées. Pour Stéphane Murignieux, le président de l'ITE-DOM (Institut de Transition Ecologique des Outre-mer), il « est urgent de faire vite » sur cette question pour ne pas préparer le drame de demain. « On parle de millions de briques ».

La difficulté, c'est que, contrairement au plastique PET, la brique n'a qu'une faible valeur. Les essais d'envois vers des usines de traitement dans l'Hexagone se sont révélés trop coûteux (parfois, aussi, les briques arrivaient moisies et impossibles à recycler). « On ne peut pas laisser cette situation en l'état. Soit on monte vite une usine CSR (Combustible Solide de Récupération) et on peut alors s'en servir pour alimenter des chaudières de centrale biomasse pour le transformer en électricité, à défaut d'en faire quelque chose de plus vertueux. Soit on réfléchit à substituer les briques alimentaires par d'autres produits, sachant, aussi, que la bouteille plastique coûte plus chère et qu'on doit tenir compte de cette problématique de vie chère ».

 

11%

C'est le taux de ramassage de déchets plastique en Martinique (contre 55% au niveau national).

30%

C'est le niveau d'erreur sur les collectes de tri concernant les Bacs jaunes (plastique, papier, carton). 30% du tonnage amené à Martinique recyclage, une fois trié sur place, part ainsi à l'incinérateur.

1,5 million d'euros

C'est le montant de la taxe que les producteurs d'eau et les embouteilleurs payent à l'éco-organisme Citéo sur les plastiques vendus.

1,76 million d'euros

C'était, en 2016, ce que l'éco-organisme a versé aux collectivités de communes de Martinique (Cacem, Espace Sud et Cap Nord), au titre du soutien à la filière (dont 600 000 pour les plastiques et 450 000 de financement de projets, dans le cadre du Plan d’Amélioration de la Collecte).

La consigne : Martinique, territoire expérimental ?

Pour augmenter le taux de collecte des bouteilles plastique, Emmanuel Macron, le président de la République a évoqué l'opportunité de mise en place de la consigne, qu'il a précisée en novembre, face à la fronde de certains maires. À la Martinique, l'engouement pour le Solarcub (lire par ailleurs) montre que la population est prête à suivre, si une mesure incitative est mise en place. Le projet de loi économie circulaire est encore en débat à l'Assemblée Nationale. « Le président de Citéo m'a demandé si la Martinique pouvait être territoire expérimental sur cette mesure. Ça l'intéresse de voir ce que cela donnerait », indique Franck Robine, le préfet. La CTM et les communautés d'agglomération seraient également partie prenante.

Une telle mesure doit nécessairement être légiférée, à la fois au niveau national mais aussi à créer un circuit logistique entre producteurs, collectivités, etc. Si la Martinique apparaît en bonne position dans le cadre d'une éventuelle expérimentation, la liquidation de Sidrep, sur son territoire, noircit forcément le tableau. Et déjà, la Guadeloupe se positionne. Au-delà de la défense de ses propres atouts, elle ne manquera certainement pas de rappeler cet échec sur l'île sœur.

Manuela Lapenne, directrice commerciale d'Ecodec et AER (Guadeloupe) « Mes containers envoyés en Europe »

« C'est dommage qu'une industrie ferme, surtout dans le cadre d'une économie circulaire comme celle du recyclage des déchets. De mon côté, je n'assure que la logistique entre la collecte et l'usine. Donc, avec la fermeture de la Sidrep, je dois envoyer mes containers de bouteilles en plastique en Europe. J'envoie environ 8 containers par mois, soit, en octobre, 80 tonnes. Depuis le début de l'année, j'en suis à 550 tonnes.

Pourtant, je ne fonctionne sur la chaîne de tri qu'à 25 % de mes capacités. Ce manque d'activité est lié au manque de tri, au manque d'efficacité des collectes sélectives, bien que les collectivités, on le voit bien, prennent le problème à bras le corps : entre 2018 et 2019, j'ai reçu (à date octobre) 120 tonnes de plus ».

A.A.

 

L'Europe grimace

Du côté de Bruxelles, l'échec de Sidrep a aussi des résonances négatives pour notre île. Le projet avait bénéficié de 6 millions d'euros de fonds publics (européens essentiellement), sur un investissement global de 11 millions. « Cela vient décrédibiliser notre capacité à monter des dossiers à l'avenir », soutient un observateur averti. « Nous allons être beaucoup plus regardés et observés ». Initialement, l'apport de fonds publics devait aussi permettre la création de 25 emplois (qui n'ont jamais pu voir le jour).

« L'enjeu, c'est d'augmenter le geste de tri auprès des habitants »

Après la liquidation, le dirigeant de Sidrep a pointé du doigt l'éco-organisme Citéo, vous accusant de ne pas avoir organisé la collecte de déchets plastiques, que répondez-vous ?

Depuis le départ, Citéo (avant Eco Emballage) a toujours soutenu l'économie insulaire et de développement de filière locale. Transporter des déchets à travers le monde ne nous semble pas très vertueux. C'est pour cela que nous étions plutôt assez favorable à une usine implantée localement, d'autant qu'elle était destinée à trois territoires (Martinique, Guadeloupe et Guyane). Maintenant, Citéo n'est pas opérationnel, ce n'est pas nous qui installons les Bacs jaunes. On accompagne les producteurs d'emballage à respecter leurs obligations légales en participant à la fin de vie des emballages. Notre organisme met en relation les acteurs du marché avec les collectivités locales, qui mettent en place le tri. Citéo vient financer le dispositif en fonction de la performance.

 

La création de Sidrep était vertueuse, pourquoi, selon vous, cela n'a-t-il pas fonctionné ?

La collecte en Outre-mer est relativement récente (2010 en Guadeloupe, 2015 en Guyane). La mise en place de Sidrep a été basée sur une montée en puissance de cette collecte, sauf qu'elle a été moins importante qu'envisagé initialement. De 800 tonnes de bouteilles plastique, nous avons atteint 1200 tonnes. La performance du geste de tri augmente chaque année mais pas de manière assez efficiente. Sidrep, pour être rentable, aurait dû atteindre 4000 tonnes par an de bouteilles PET (ndlr : plastique clair).

La liquidation de cette usine est fort dommageable, puisque cela envoie un signal négatif, à savoir qu'il est impossible de faire de l'économie circulaire localement. Nous devons, au contraire, apprendre de cet enseignement pour réfléchir à la mise en place de solutions adaptées pour la Martinique, en recyclant davantage et en diminuant le nombre de bouteilles.

 

Justement, Sidrep n'existant plus, quelles sont les pistes envisagées ?

C'est la réflexion que nous allons poursuivre dans les prochains mois, avec une grande concertation locale. Il s'agit de faire l'état des lieux de l'existant et voir les pics d'amélioration. Reproduire le même dispositif que Sidrep, peut-être surdimensionné, ne paraît pas forcément pertinent. Il faut sans doute réfléchir à un outil plus petit, adapté à nos besoins, avec une possibilité d'évolution à terme. Mais il faut compter, a minima 1 an, 1 an et demi pour mettre cela en place. Tout l'enjeu, c'est d'augmenter le geste de tri auprès des habitants. Nous devons réfléchir à des moyens de collecte adaptés et à des moyens de communication totalement différents. On a trop tendance à copier ce qui se fait sur l'Hexagone. En Martinique, le taux de collecte est deux fois inférieur à la moyenne nationale. Nous avons à réfléchir sur la façon d'accompagner tous les acteurs pour accélérer ce rattrapage. En terme financier, Citéo va investir 10 millions d'euros en plus en Outre-mer, que ce que nous versons déjà aux collectivités locales.

Les acteurs doivent réfléchir à la façon d'augmenter le geste de tri et l'efficience de la collecte.

Les acteurs doivent réfléchir à la façon d'augmenter le geste de tri et l'efficience de la collecte. • Rodolphe Lamy

Philippe Moccand, directeur du Schéma industriel Outre-Mer de Citéo

Philippe Moccand, directeur du Schéma industriel Outre-Mer de Citéo • Rodolphe Lamy

 

Pierre-Olivier Abor, Tri-CenterSolarcube « Plus de 32 tonnes patientent à Martinique Recyclage »

Le Solarcub installé à Dillon bat tous les records (plus de 200 000 bouteilles collectées chaque mois). Depuis l'installation de l'automate en juin dernier, l'affluence ne désemplit pas. Et pourtant, Pierre-Olivier Abor, dirigeant de Tri-Center, à l'origine de cette initiative expérimentale, ne décolère pas. « La liquidation de Sidrep est un vrai drame, je ne comprends pas qu'on ait laissé faire ça ».

À l'origine, son projet était de revendre les bouteilles collectées à la seule usine de traitement de la Caraïbe. Faute d'accord financier avec Sidrep (50 euros la tonne proposée, au lieu de 300 à 350 euros, le prix bas du marché) ou d'entente avec la Cacem, toutes les bouteilles récupérées et compactées sont, aujourd'hui, entreposées à Martinique Recyclage. « J'ai plus de 32 tonnes qui patientent et que j'aurais pu vendre depuis longtemps si j'avais su. Elles vont devoir partir vers l'Hexagone. Ce n'était pas du tout l'idée de

départ de les faire traverser l'Atlantique, à bord de bateaux polluants ! Nous étions sur une démarche d'économie circulaire ».

Si l'échec de Sidrep ne remet pas en cause le développement de Tri-Center (d'autres automates doivent voir le jour sur des parkings des centres commerciaux de GBH), le dirigeant assure, déjà, penser à « une façon de rebondir ».

La file ne désemplit pas devant le Solarcube.

La file ne désemplit pas devant le Solarcube. • Rodolphe Lamy

 

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