On entend partout à travers le monde des gens vitupérer contre le capitalisme et les dégâts qu'il commet.
A noter que plus ancien, le capitalisme classique (Etats-Unis, Europe etc...) est beaucoup plus visé que le capitalisme d'Etat (Russie, Chine etc.) alors que tous les deux sont des abominations. A tel point que, proportionnellement parlant, il y a plus de milliardaires en Chine qu'aux Etats-Unis ! Deng-Xiao-Ping doit être ravi dans sa tombe...
Or, peu de gens pointent du doigt l'arme fatale du capitalisme, qu'il soit classique ou d'état, à savoir cette véritable nuisance qu'est LA PUBLICITE. Cette dernière est un poison mental, une peste, un virus cent fois pire que l'ex-Covid puisqu'elle détruit à petit feu, jour après jour, les rares neurones qui restent aux citoyens déjà crétinisés par les séries-télé, Whatsapp et les réseaux sociaux (-pathes). On se demande de quel cerveau malade a pu surgir l'idée de vanter des marchandises sur tous les supports possibles et imaginables. Car dans le passé, aucun des grands empires (mongol, romain, arabe, ottoman, anglais, français, espagnol etc...) n'a eu besoin de la publicité pour pouvoir prospérer commercialement. Ce n'est qu'au 20è siècle qu'est apparue la publicité mais de manière très peu envahissante et sous le nom de "Réclame". Cette dernière est acceptable ou en tout cas supportable tandis qu'un spot de pub moderne, sur n'importe quel support, constitue une forme d'intrusion marquée au coin de la perversité.
Les panneaux publicitaires 4/4, qui jaillissent à l'entrée des villes, communes, voire campagnes, constituent une véritable pollution visuelle en plus de constituer un matraquage permanent des esprits digne des dictatures les plus féroces, sauf qu'au contraire de ces dernières, ils n'ont, ces panneaux, nul besoin de flics et de militaires. Ils exercent une sorte de dictature-soft, presqu'invisible à force d'être omniprésente, d'occuper 24h sur 24h, notre espace vital. Au lieu donc d'incendier des magasins appartenant à des Nègres, les révoltés martiniquais actuels seraient mieux inspirés de s'en prendre d'abord et avant tout à ces satanés panneaux qui incitent à la surconsommation.
Les publicitaires sont des pervers qui se prennent pour des créatifs, ce dont rirait à gorge déployée n'importe quel peintre qu'il soit européen, américain, asiatique, arabe ou peintre de rue comme en Haïti. Ce sont en tout cas les agents-vecteurs de la saloperie capitaliste qu'elle soit classique ou d'état. C'est pourquoi nous avons toujours refusé et refuserons toujours de mettre la moindre annonce, le moindre encart publicitaire sur FONDAS KREYOL.
Plutôt crever !
Les observations de Nature noire méritent qu'on y prête attention. Lire la suite
On le sait tès peu mais il existe au Brésil une importante communauté japonaise.ILs sont environ Lire la suite
Cet article est très intéressant mais il peut induire en erreur car le "patois lorrain" mentionné Lire la suite
Il est à supposer que cela reflète l'atmosphère ambiante de ce "pays" d'alimentaires. Lire la suite
Depuis quelque temps ,plusieurs textes de Fondas rédigés en créole sont truffés d'injures créoles Lire la suite