En rédigeant ce courrier, j’ai choisi de toujours t’appeler «camarade» et te tutoyer parce que je me refuse à oublier le courage militant dont tu as pu faire preuve dans le passé, par exemple dans les luttes au lycée de Trinité, où tout le travail que tu as pu réaliser à nos côtés quand tu étais membre de notre organisation. J’ai décidé de te l’adresser parce que ce n’est qu’hier, que j’ai découvert qu’en Mars 2010, tu as été déclarée, auprès de la Préfecture Française, Présidente de l’Association « Asé Pléré An nou Lité » que nous avons créée et dont j’étais jusqu’alors Président.