La question de la délinquance et de lʼinsécurité est au premier rang des préoccupations des Martiniquaises et des Martiniquais. Et les récents évènements ont renforcé la psychose. La presse sʼest emparée du sujet. Ainsi le grand journal “Le Monde” du 22/06/2023 titre : “Aux Antilles, l’emballement de la criminalité inquiète les autorités locales”.
"National" au sens "national Mquais". Ça va sans dire, mais ça va mieux en le disant...
Lire la suite...mè "dannsòl".
Lire la suiteSi on vous comprend bien, MoiGhislaine, le charbon de Lorraine devrait, pour reprendre votre expr Lire la suite
Je crains que vous n'ayez mal compris cet article. A moins que ce ne soit moi qui me trompe. Lire la suite
Il faut être un sacré farceur pour faire croire aux Martiniquais qu'un deuxième Cuba est possible Lire la suite
Commentaires
Insécurité pour les uns ,mais pas pour les autres !!!
Rose
29/06/2023 - 13:37
Et "l'insécurité" des Nègres poursuivis et massacrés par les Tunisiens ,vous en pensez quoi?
La prohibition ne marche pas.
certes
29/06/2023 - 16:58
La prohibition ne marche pas. Aux Etats-Unis, la prohibition de l'alcool l'a démontré. La population voulait boire, la maffia lui a procuré ce qu'elle demandait. Les autorités n'y ont pas pu grand-chose.
Avec la drogue, c'est pareil. La population en réclame, des réseaux l'alimente. L'industrie de la drogue est maintenant internationale, tentaculaire. Elle génère un argent phénoménal, réparti entre de richissimes "parrains" (parfois acteurs d'appareils d'Etat) jusqu'aux simples guetteurs.
L'explication misérabiliste du deal et bien trop courte. Quand le business n'était pas encore ce qu'il est devenu, j'ai personnellement connu deux trafiquants en Martinique : tous deux bénéficiaient d'un emploi très confortable.
Le trafic s'est tellement banalisé qu'il est de venu la norme, avec la loi du milieu qui va avec. Ceux qui sont pris récidivent parce qu'ils ne voient pas ce qu'ils ont fait de mal : pour eux, tout est normal.
Les policiers qu'on envoie combattre le commerce sont des empêcheurs de tourner en rond. Ils finissent par devenir l'ennemi n°1 d'un tas de monde et si un policier fait une connerie, c'est l'hallali.
La progression du trafic et la multi-récidive entraînent des opérations de police dans des conditions de plus en plus difficiles, avec des incidents croissants, je veux dire des blessés, voire de morts. C'est mathématique.
En fait, arrêter tout ça est facile : il suffit que les Martiniquais ne consomment plus, notamment les plus aisés qui se paient les drogues les plus onéreuses, celles qui rapportent le plus à ceux qui les vendent.
Mais j'ai l'impression que je suis le seul à le penser. C'est vrai que je dois être con, comme dit Albè.