L'épidémie de covid-19 a généré tout un lexique depuis bientôt deux ans et cela quelle que soit la langue. Si des langues puissantes comme le français ont su y faire face ("confinement", "geste-barrière", "distanciation sociale", "quarantaine" etc...), ne s'ouvrant qu'à de rares mots anglais comme "cluster" au lieu de "foyer de contamination", tel n'a pas été le cas de langues en difficulté comme le créole.
En créole, nous nous sommes contentés de reprendre le lexique du covid en français, parfois en n'ayant même pas le souci de le créoliser, dérive mortifère que les linguistes appellent "décréolisation" et qui conduira à terme, si aucune politique linguistique sérieuse n'est mise en place, à l'absorption du créole par le français.
Raphaël Confiant (Martinique) et Hector Poullet (Guadeloupe) se sont mis à la tâche pour rendre le lexique du covid dans un créole acceptable, cela soit en réanimant des mots oubliés soit en forgeant des néologismes et c'est Caraibéditions et son dynamique directeur, Florent Charbonnier, qui se sont chargés de publier ce travail.
Nous ne citerons aucun exemple de mot créole du covid afin d'inciter les personnes intéressées à se plonger dans leur ouvrage...
...me semble-t-il, et le commentaire d’Albè est convainquant sur ce point. Lire la suite
Si le "quotidien des Nègres au Magheb" était aussi immonde que PRA le décrit pourquoi les chefs d Lire la suite
Et dire que le dénommé Albè est persuadé de pouvoir me faire tomber dans un de ses pièges grossie Lire la suite
...confirme ce qui y est indiqué, que maintenant, parfois, il n’est pas besoin d’un "arbitre occi Lire la suite
...Tintin et Mouloud, ce qui expliquerait ses propos dignes d’un "territoire occupé par Israël à- Lire la suite