Cent vingt ans que la Martinique a perdu Saint Pierre, sa Ville capitale au-dessus des flots, après que le volcan de la montagne Pelée qui la domine, l’a recouverte de cendre. Le choix du lieu, qui fait désormais partie des cités inscrites au palmarès des villes d’Art et d’Histoire, patrimoine de l’Humanité, n’est nullement innocent.
Son aura particulière ne se limite pas à son éminent rôle socio-historique, car elle a également laissé dans l’imaginaire de chaque antillais des traces indélébiles.
Deux récits historiques témoignent de cette quête du temps passé,
Le premier :
Frédéric Bastille, mulâtre de la Révolution
Le second :
Rose de la Roxelane
Un retour sur les beautés de ce lieu unique certes, mais aussi, sur les turpitudes de trois cents ans d’esclavages en Outremer.
...indépendance à la mauricienne ou la barbadienne, c’est précisément les "révolutionnaires" dont Lire la suite
Très simple : une indépendance à la barbadienne ou à la mauricienne. Lire la suite
...en effet, ce konpèlapinisme-ci, comme d’autres tout aussi "malsains", est qqch qui imprègne bp Lire la suite
...de la Mque ni du PPM, mais de l’Algérie à l’époque où Fanon y militait pour sa libération nati Lire la suite
Arrêtez vos délires anti-musulmans ! Lire la suite