Il y en a eu deux en cette années 2025 (tournés en 2024) : celle d'un réalisateur algérien, Abdenour Zahzha, intitulé Fanon et celle d'un réalisateur guadeloupéen, Jean-Claude Barny, portant le même titre.
C'est le film de ce dernier qui a été vu aux Antilles de même que dans la diaspora antillaise de l'Hexagone et est donc connu.
Le premier, celui de Zahzha, est tout à fait remarquable et nous éclaire sur le vrai Fanon et sur son action à l'hôpital de Blida-Jonville dans l'Algérie encore sous le joug colonial français. Cela sans effets hollywoodiens ni bollywoodiens. Ni transformation de Fanon en une sorte de Denzel Washington bien sous tous rapports. De gentil black portant beau et développant un universalisme bon chic bon genre. Car il est insupportable que Fanon puisse servir de faire-valoir à des rapeurs, des footeux, des humoristes, des acteurs "blacks" etc... installés à Paris.
Par respect pour l'année du centième anniversaire de la naissance de Fanon, nous préférons ne pas en dire plus. Nous préférons attendre que cette année se termine pour...Bref !
Rendez-vous donc le 1er janvier 2026, Inchaallah !
Ca va chier des bulles, comme on dit en dialecte gaulois...
C'est la moindre des choses !!!Qu'on ne vienne pas nous bassiner avec l'argument éculé selon lequ Lire la suite
Mwen pa sav, mé sé bon réfleksyon. Ou sé di ki F k an grèv sé jou tala. Lire la suite
Ce célébrissime chant de guerre maori est enseigné (j'espère que c'est encore le cas ) depuis qq Lire la suite
"Confronté à la justice pour son départ en retraite". Lire la suite
D'une mauvaise foi abyssale. Vous faites semblant de ne pas comprendre de quoi il s'agit. Lire la suite