Ecouter les radio-libres qui utilisent le créole ou les politiciens qui emploient (démagogiquement) ce dernier lors des campagnes électorales a de quoi provoquer soit le fou-rire soit la colère chez les défenseurs de notre langue laquelle aborde son 4è siècle d'existence soit dit en passant.
C'est ainsi que l'expression "an fin fon", calque du français "au fin fond" est devenue courante, voire majoritaire alors que le créole en possède une bien à lui : an fondok/nan fondok. Comme dans la phrase suivante : Sé nan fondok lakanpay-tala fanmi Jilbè ka rété dépi konmen tan (La famille de Gilbert vit au fin fond de cette campagne depuis fort longtemps).
Sinon, an fondok possède une variante, moins fréquemment utilisée : an fonfonn/nan fonfonn.
Nous sommes concernés parce que la Martinique a une composante syro-jordano-palestino-libanaise d Lire la suite
...des Mquais devraient-ils être indignés de voir les Arabes de Palestine se faire massacrer depu Lire la suite
La Martinique est décidément un pays de farceurs. Lire la suite
Avec le Grand remplacement actuellement en cours en France , ce genre de phrase se répétera mal Lire la suite
Aux dernières nouvelles une délégation de parlementaires antillo-guyanais ira prochainement visit Lire la suite