Ecouter les radio-libres qui utilisent le créole ou les politiciens qui emploient (démagogiquement) ce dernier lors des campagnes électorales a de quoi provoquer soit le fou-rire soit la colère chez les défenseurs de notre langue laquelle aborde son 4è siècle d'existence soit dit en passant.
C'est ainsi que l'expression "an fin fon", calque du français "au fin fond" est devenue courante, voire majoritaire alors que le créole en possède une bien à lui : an fondok/nan fondok. Comme dans la phrase suivante : Sé nan fondok lakanpay-tala fanmi Jilbè ka rété dépi konmen tan (La famille de Gilbert vit au fin fond de cette campagne depuis fort longtemps).
Sinon, an fondok possède une variante, moins fréquemment utilisée : an fonfonn/nan fonfonn.
...de même qu'il n'y a aucune lutte sérieuse en Martinique contre le colonialisme français, il n' Lire la suite
Ah bon parce qu'il y a "lutte mqse contre la colonialisme français " ??? Ah Ah AhAh Ah ! Lire la suite
...par QUI, pauvre taré ? Par nous, les Antillais ? Lire la suite
Dénoncer la négrophobie au Maghreb ne constitue absolument pas un "délire anti-musulmans"!!! Lire la suite
...à d’anciens communistes orthodoxes qui ont viré à l’extrême-droite, y compris des gens qui, co Lire la suite