L'ancien président français Nicolas Sarkozy risque 10 ans de prison soupçonné qu"il est d'avoir reçu la somme de 6,5 millions d'euros afin de financer sa campagne pour les élections présidentielles de 2007.
Qui était le généreux donateur, selon la justice ? L'ancien chef d'état de la Lybie, Mouamar Khadafi, que Sarkozy a fait dégommer en 2011 au motif de débarraser ce pays d'un "dictateur sanguinaire". Interdit de rire ! Car s'il y avait bien à l'époque une révolte d'une fraction de la population lybienne, rien n'autorisait la France à s'en mêler, cette dernière n'ayant aucun lien historique, linguistique ou culturel avec la Lybie. Jusqu'à preuve du contraire la Lybie n'a jamais fait partie de la Françafrique (Françafric) ! Or, selon RMC, "le parquet financier a fustigé mardi un "pacte de corruption inconcevable, inouï, indécent" noué entre Sarkozy et Kadhafi".
Celui qui avait fait débloquer les fonds n'était autre qu le Grand Argentier de Khadafi, celui qui gérait le Lybian African Investment Portfolio, le collossal fond souverain du pays, constitué avec l'argent du pétrole et se montant à 68 milliards dollars, à savoir Bachir Saleh :
A la mort de Khadafi en 2011, voici que Bachir Saleh est mystérieusement exfiltré en Tunisie avec le concours de l'ambassade de France en Lybie avant d'être à nouveau exflitré en...France à bord d'un avion spécialement affrété pour lui. Il vivra tranquillement à Paris alors qu'il est marqué d'une fiche rouge Interpol !!! Puis, quand le scandale du financement présumé de la campagne de Sarkozy éclate, Saleh, tout aussi tranquillement, a pu prendre un avion à Orly pour se réfugier aux Emirats Arabes Unis où, aux dires des médias locaux, il coule des jours heureux. Sacré Béchir, va ! Qu'Allah veille sur toi et le magot que tu as certainement dû planquer dans le Golfe pour assurer tes vieux jours !
Sauf que son comparse présumé, à savoir Sarkozy, déjà muni d'un bracelet électronique, risque gros si l'on en croit les implacables réquisitions de parquet.
Cependant, il y a bien trois gugusses qui doivent bien se marrer. Trois enseignants de l'Université des Antilles accusés par 2 rapports de la Cour des Comptes et 1 du Sénat d'être responsables de la volatilisation de 10 millions d'euros de Fonds européens dans la comptabilité dudit établissement. Le Conseil National des Universités leur a infligé deux sanctions administratives, chose rarissisme au sein de l'université française : ils ont été révoqués de l'Université et radiés à vie de la Fonction publique. Puis, la justice-sous-les-cocotiers a fait semblant d'agir en leur infligeant 5 mises en examen parmi lesquelles le "détournement de fonds en bande organisée au détriment de l'Union Européenne". Cela en 2016 et ensuite, plus rien. Silence-radio ! On est en 2025, soit 9 ans plus tard, et aucun des trois gugusses n'a jamais été amené à la barre du tribunal pour répondre des graves accusations qui pèsent sur eux. Il y a eu maints blocages du campus de Schoelcher par des enseignants, des étudiants et certains personnels administratifs mais Dame Justice n'en a eu rien à foutre !
Ils sont libres comme l'air et mène tranquillement leur petite vie alors que l'Europe a contraint l'Université des Antilles à rembourser la somme volatilisée.
Et des excités continueront à brailler que "la justice française est coloniale, raciste et blablabla". Pff ! Sarkory est un Blanc soupçonné pour seulemnt 6,5 millions d'euros tandis que nos trois gugusses sont des Noirs accusés par les rapports de la Cour des Comptes et du Sénat d'être responsables de la volatilisation de 10 millions d'euros. Donc votre cinéma permanent, vos afrocaribéâneries, il serait temps d'y mettre fin, non ?
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