L'incident entre le Président de la CTM, Serge Letchimy, et un syndicaliste représentant un syndicat qui avait traité la CTM d'"Habitation" à savoir de plantation esclavagiste a tout d'un combat de coqs.
D'un mauvais combat de coqs.
On y mesure, en effet, à quel point ce "Président" ne dispose d'aucune autorité réelle et n'est en fait qu'un chef indigène dénué de réels pouvoirs. Ceux qui se réjouissent de cet incident et le démolissent sur les réseaux sociaux sont de fieffés imbéciles car AUCUN PRESIDENT DE COLLECTIVITE LOCALE n'a de réel pouvoir dans cette Martinique peuplée de consommateurs désireux de consommer comme en "Métouopole" tout en... détestant cordialement cette dernière.
Quant aux prétendues "forces vives" (partis politiques, syndicats, intellectuels, artistes etc...) qui se réjouissent de voir ce "Président" perdre une nouvelle fois la face (la première fois ce fut devant un quarteron d'aligneurs de prix sur la Métouopole), ils ne savent pas ou font semblant de ne pas savoir que c'est LA MARTINIQUE TOUTE ENTIERE QUI PERD LA FACE. Mais après tout, il y a belle lurette que cette île n'est plus ni une nation ni un pays (et ne sera sans doute jamais un Etat) ! Juste un territoire en voie d'"hawaïsation" selon l'expression d'Edouard Glissant dont le nom n'évoque guère plus que la dénomination d'un collège au Lamentin lequel collège aurait fort bien pu s'appeler Jean Tartempion que ça ne ferait ni chaud ni froid à personne.
Voici ci-après le communiqué publié par la CTM après ce mauvais combat de coqs...
...mais un "camp d’extermination à ciel ouvert". Lire la suite
...ce que furent les massacres de Sabra et Chatila en 1982: Lire la suite
Ils s'attaquent maintenant aux sportifs :C'EST VOLONTAIRE. Lire la suite
A défaut d'être assidu, je suis un lecteur régulier de ce site ainsi que de feu son prédécesseur. Lire la suite
...disait que, vu le manque de poisson Mquais mis sur le marché local, il suffirait d’importer ma Lire la suite