Une culture matérielle a-t-elle été à l’œuvre en Martinique aussi bien au sein des élites sociales que des autres milieux (intermédiaires et populaires) entre 1852 et 1900 ? Nous aurions pu croire que seuls les élites et les milieux intermédiaires avaient porté un intérêt à leurs objets du quotidien ou à ceux usités de manière exceptionnelle.
Les milieux populaires, dès lors qu’ils eurent quelques moyens, possédèrent certains objets matériels nécessaires aussi bien en cuisine qu’au niveau des pièces à vivre des intérieurs ruraux et urbains. Ils recensaient des « petites gens », vivant avec des salaires de misère, à l’image des immigrants indiens et africains, des cultivateurs, des charbonnières des blanchisseuses, des « machanne lapacotte », des domestiques/ménagères ; des gens sans le sou ; mais aussi quelques individus qui allaient réussir à s’élever progressivement dans la société post-esclavagiste. Ce livre aborde l’envers du décor colonial en entrant dans l’intimité des intérieurs urbains et ruraux des élites sociales, des milieux intermédiaires et des milieux populaires.
T'es plus intelligent que l'avocat Raphaël Constant, rédacteur de l'article, qui a plus de 40 ans Lire la suite
Le suprémacisme est une théorie RACIALE et RACISTE consistant à considérer EXPLICITEMENT qu' une Lire la suite
Le premier "suprémacisme" ne consiste--t-il pas à utiliser les outils juridiques du colonisateur Lire la suite
Quel rapport avec le fond de l'article ?
Lire la suiteC'est "Chastanet" et non "Chastenet"...
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