Une culture matérielle a-t-elle été à l’œuvre en Martinique aussi bien au sein des élites sociales que des autres milieux (intermédiaires et populaires) entre 1852 et 1900 ? Nous aurions pu croire que seuls les élites et les milieux intermédiaires avaient porté un intérêt à leurs objets du quotidien ou à ceux usités de manière exceptionnelle.
Les milieux populaires, dès lors qu’ils eurent quelques moyens, possédèrent certains objets matériels nécessaires aussi bien en cuisine qu’au niveau des pièces à vivre des intérieurs ruraux et urbains. Ils recensaient des « petites gens », vivant avec des salaires de misère, à l’image des immigrants indiens et africains, des cultivateurs, des charbonnières des blanchisseuses, des « machanne lapacotte », des domestiques/ménagères ; des gens sans le sou ; mais aussi quelques individus qui allaient réussir à s’élever progressivement dans la société post-esclavagiste. Ce livre aborde l’envers du décor colonial en entrant dans l’intimité des intérieurs urbains et ruraux des élites sociales, des milieux intermédiaires et des milieux populaires.
...de la Mque ni du PPM, mais de l’Algérie à l’époque où Fanon y militait pour sa libération nati Lire la suite
Arrêtez vos délires anti-musulmans ! Lire la suite
La nomination de cet Hadaoui a exactement la même fonction que la rencontre précipitée de Tebboun Lire la suite
...perçu, lui le seul "Neg" au sein d'un parti dirigé à l'époque par des "Milat" ? Lire la suite
...d’ailleurs Fanon était lui-même à lui tout seul le début d’un "grand remplacement" des Algérie Lire la suite