En pleine tempête tropicale, dénommée Bret, voici qu'une commune ultramarrante fait passer un message de vigilance à sa population, chose éminemment louable.
Sauf qu'il y a comme un couac (ou un couic) comme on peut le constater dans la vidéo ci-après. En effet, le préposé aux conseils de vigilance s'emmêle les pédales ou les pinceaux, sa langue glisse, s'échappe, tournevire parce que le bougre butte sur une roche. Enfin, un mot lourd comme une roche, quoi ! Pourtant ledit mot, "ouragan", n'est aucunement un mot colonialiste, un mot de la langue colonialiste plutôt puisqu'il provient de la langue des Kalinagos, les premiers habitants des "Isles Françoises de l'Amérique" : hurakan.
Que lui conseiller pour la prochaine fois (qui sera dans pas longtemps si l'on en croit Dame Météo) ? Eh ben, ceci : "Si tu ne sais parler ni le colbertien ni le kalinago, parle égyptien, bonhomme ! Mais oui, tu sais, cet idiome autrefois (salement) dénommé créole"...
"National" au sens "national Mquais". Ça va sans dire, mais ça va mieux en le disant...
Lire la suite...mè "dannsòl".
Lire la suiteSi on vous comprend bien, MoiGhislaine, le charbon de Lorraine devrait, pour reprendre votre expr Lire la suite
Je crains que vous n'ayez mal compris cet article. A moins que ce ne soit moi qui me trompe. Lire la suite
Il faut être un sacré farceur pour faire croire aux Martiniquais qu'un deuxième Cuba est possible Lire la suite